1. Fraternité étudiante (1)


    Datte: 18/02/2020, Catégories: Gay

    ... des boissons énergisantes. "Et maintenant vous allez prêter serment. Prenez vos couilles dans la main gauche, levez la main droite et répétez après moi"! Le grand maître s’était mis debout comme les 19 autres. En se levant certaines capes s’entrebâillèrent et je vis qu’ils étaient nus dessous. J’eus le pressentiment de ce qui allait m’arriver. En un éclair, je me dis qu’il n’était plus temps de se poser des questions sur ma sexualité. Cela défila dans mon esprit en un instant comme le fait la vie de ceux qui vont mourir dit-on. Jamais je n’avais été intéressé par la sexualité. J’étais bien sorti avec une fille pendant mon année de seconde mais c’était plus pour faire comme tout le monde et parce que chacun s’interrogeait sur le fait que je n’avais pas de copine. Après je ne m’étais consacré qu’aux études et au sport sans m’intéresser plus que ça au cul, à part quelques branlettes de temps en temps, normal. Là je dus reconnaître que les trois autres mecs à poil, l’atmosphère chaude de la pièce où régnait déjà l’odeur de la chaleur masculine, car ils devaient nous attendre depuis un moment, tout me titillait. Mais il fallait jurer et il détacha chaque partie du serment pour que nous le redisions. "Je jure de garder secret ce que je vais voir et faire ce soir, même si j’échoue dans mon initiation. Si je suis accepté dans la THTATPCSBLCCCBS, j’en apprendrai les lois sous l’aide de mon parrain à qui j’obéirai sans discuter et je les respecterai ma vie durant emportant mon secret ...
    ... avec moi dans ma tombe à mon dernier jour. Je me soumettrai au Grand Maître et au Grand Conseil de la confrérie et à tous les anciens". Puis vint un second serment : "Prenez les couilles de votre voisin de droite. Et maintenant jurez". Et, comme la première fois, tenant les couilles de notre voisin à l’exception des deux mecs à chaque extrémité qui avaient une main libre qu’ils levèrent solennellement en l’air, nous prêtâmes serment. "Je jure d’être fidèles à mes frères et de les servir en bonne camaraderie et de les assister." Cela fait, on nous mit deux par deux. Je me retrouvai avec Marcus. On nous ordonna de nous allonger, disposés en 69 et, l’un après l’autre de raser les couilles et la queue de notre partenaire, mais il fallait maintenir lepubis intact. Cette opération m’excita et, comme je rasai Marcus, je me mis à bander en étant très gêné quand même. Dès que cela fut remarqué, il y eut un déferlement d’applaudissements et d’acclamations et ma gène disparut. Ma queue étant bien droite, Marcus n’eut aucun mal à m’épiler la tige et les burnes et, pendant qu’il le faisait, je fus le seul à qui on ordonna de lécher les couilles de son binôme. Je fis semblant d’hésiter, d’être un peu dégoûté, mais je m’y livrai franchement très vite et avec satisfaction. Ma vie basculait d’un coup. Je me rendais compte que j’aimais les hommes, que je n’avais jamais attendu que cela. Je me faisais pour moi-même mon propre coming-out. A son tour, la queue de Marcus prit de belles proportions. ...