1. Madame Christine


    Datte: 18/02/2020, Catégories: inconnu, bizarre, magasin, fdomine, jalousie, contrainte, BDSM / Fétichisme nopéné, sm, attache, humour,

    ... me chatouille les pieds, et je suis sûr d’aimer ça. En fait, depuis rien du tout je suis complètement offert libre à l’eau, souriant et bavant, la béatitude aux bains.Ce que je sais et pourtant pour bizarre que cela fut-ce, celle pour qui je bande un max est une femme autoritaire, lumineuse, maternelle, légèrement autoritaire (ce que je croyais). Une sainte quoi. Chérubin soumis, je tends mon pieu vers un ciel bronzé saturé de jarretelles, et cette madone roucoulante d’injure paradisiaque, de mon corps libère des mots imparfaits de regrets jouissifs.Minablement, je m’engourdis les yeux secs mais le rose chibre tendu à l’appel de ses yeux d’un chant montant de mes lèvres – Pauline, pauli… Madame Christine arrête soudainement son jeu érotique préféré. Un vacarme d’empoignade s’élève de la pièce aux cartons. Quelques cris étouffés suivis de gémissements, se terminent dans un silence où le métro boulot dodo ronronne puis s’éclipse. Une ombre se distingue. — Tu es fière de toi ? La femme qui s’impose dans la lueur glauque est grise avec un rictus noir comme des bonbons aux cacaos. — La bite… Tu peux donc pas la mettre en sourdine de temps en temps, susurre-t-elle. Elle n’a pas l’air de plaisanter. Chignon à la con, très serré, du style choucroute année cinquante qui rime avec cinglante. Des jambes tendues de bas nylons jaune-bleu en arcs, où l’on ne passe pas. Le sang perle du nylon troué, déchiré, un peu plié, de son genou gauche qui se détend. C’est dû à une empoignade ...
    ... soudaine. Une visiteuse… Une chieuse qui matait en douce. Une fouineuse de journaliste bien gaulée pour son petit-déjeuner. De la sueur coule sur son cou et glisse le long de sa poitrine puissante. Cette nana manucurée mais charpentée vient de foutre une raclée à une étrangère, ce qui n’altère en rien son programme de dominatrice, voire chef de chez patronne à mes pieds. Elle se souvient d’avoir tenu entre ses cuisses cette gueule d’ange et voir ses jarretelles autour de son visage pleurant, la fait frémir en la serrant d’autant plus fort que la demoiselle tentait de lui arracher des dents sa culotte blanche ornée d’hirondelles en sifflant rageusement. — Tu n’es qu’une cage à fente, les oiseaux s’en iront forcément. La belle, les poumons chloroformés chantonna le nez sur le clito de sa conquérante des mots mouillés tirant sa langue dans le nylon pour s’abreuver de cyprine. Ses yeux se fermèrent sur « Chatte » phrase dénuée de sens, ses mains relâchèrent l’étreinte de la poitrine laiteuse de l’assaillante qui se frotta sur son nez tout en lui lissant les cheveux. Le talon d’une de ses bottes décrivit un arc parfait dans la poussière. &&&&&& D’une façon martiale et me tenant soudée par des menottes, l’horrible mégère me releva toisant Madame Christine : — Alors, quand est-il ? Et elle m’asséna un coup de pied qui me frôla les Joyeuses. Madame Christine se rabibochant fébrilement (les bas en zigzags et ses énormes seins en libertés) bégaya, les yeux vitreux : — Je te demande pardon, je ...
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