1. Madame Christine


    Datte: 18/02/2020, Catégories: inconnu, bizarre, magasin, fdomine, jalousie, contrainte, BDSM / Fétichisme nopéné, sm, attache, humour,

    ... me parait boudinée. Le cœur battant la foudre, l’humeur cristalline, je pousse doucement l’antique porte du désespoir d’une main qui ne tremble pas. Silence, la queue du chat balance. Pressentiment enrobé d’humour quand vient l’orage et dans le silence ces mots qui me reviennent… Une voix de gorge chargée de cruauté sadique feule, languissante comme celle d’une créature souterraine privée de drogue, voire de sexe. Fidèle chatte aux pattes de velours, soudain je les vois. Elle hypnotise mon mec et se le tape. La voilà qui enturbanne la tige de mon mec avec un bas brun. Eh bien je vais me la taper, mais au beurre noir (les yeux d’la séduction). — Alors, je sens que tu te détends. Tu ne dis plus rien, mais je t’entends râler un peu à ce que font mes doigts près de ton gros machin. Et si je t’effleure avec cette plume. Oh le vilain, mais le voilà qui bave ce petit chou, même pas capable de remuer un muscle à part celui-là. Hhum… Ton slip a l’air de te comprimer bougrement, mais tu n’as pas le droit de bouger, non, n’essaye même pas, tu ne peux pas petit salaud, le grog a fait son effet, et il te fera bander pendant très, très longtemps, monsieur « j’aime-les-bas-pour-ma-copine ». Tu veux lécher les miens ? J’ai bien vu que tu regardais sous ma robe petit vicieux, eh bien tu vois, tu auras le droit pendant des jours entiers, des semaines peut-être, et souvent, et plein de dames en profiteront aussi…Ma tête posée sur ses cuisses a l’échancrure de sa robe, mes lèvres s’entrouvrent ...
    ... sur l’agrafe d’une jarretelle comprimée du bas tendu, et la chaleur de sa peau me fait frémir. C’est pas possible ! L’endroit est bourré de bric-à-brac qui sont autant de pièges à l’équilibre instable. J’avance dans un noir tiède pareil à la descente du gouffre de Proumessac, pour entrapercevoir une Betty Page sur le retour infliger une branlette à mon mec ! La voilà qui se lève, prête à le chevaucher, relevant ses jupons au-dessus de son visage congestionné, Elle va l’étouffer, c’est complètement dingue ! Tant pis, je fonce… Une Tornade s’abat sur moi. Des mains se figent à ma gorge, je sens un genou dans mon dos, j’halète, je suffoque, on vient de me catcher par derrière. Dans ces moments, on ne raconte pas sa vie, mais j’ai eu l’occasion de faire de la lutte gréco-romaine à l’université. Me transformant en Diane chasseresse, oubliant mes bottes italiennes, je renvoie les coups. Ouaté, le corps en arquebuse, je sais qu’une femme prend sur moi le temps de la surprise et me tamponne l’olfactif d’un parfum qui me rend toute molle… Des pieds me frôlent et j’entends la voix de Colin qui geint… Quand je m’approche de sa poitrine blanche aux tétons bistrés, je la tète pénard, en têtard vibrant. Des veines sillonnent sous sa peau en tant d’années fiévreuses dont je peux sentir les années comprimées… Je bande dur.Autour de moi flottent des gazes mauves ; rouges ; bleues ; jaunes zébrées avec des touches hurlantes de fluorescences. J’hoquette de gazouillement inconsidéré, et la nounou ...
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