1. 53.6 Retrouver Jérém.


    Datte: 19/02/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... je sais à quel point le sexe avec ce mec peut être sauvage lorsqu’il est dans cet état… dans le bien, comme dans le mal… mais non, je ne suis pas venu « que » pour me faire baiser, non… si tu savais tout ce que j’ai envie de te dire, mec… mais pour l’instant ma bouche est indisponible pour la parole ; on verra ça plus tard… Ses coups de reins se succèdent sans répit ; il fait chaud dans la petite entrée, je transpire, je me sens vite en apnée. Pendant un petit moment, j’ai l’impression qu’il ne bande pas super dur, je pense que c’est pour remédier à cela qu’il se déchaîne aussi brutalement ; mais à force de va-et-vient, son érection finit par retrouver sa forme habituelle. Elle me remplit bien la bouche, elle m’étouffe. Au point que, à un certain moment je suis obligé de dégager ses mains et ma bouche de son engin pour reprendre mon souffle. Le bogoss en profite pour remonter le t-shirt et le coincer derrière la tête, dégageant ce que les américains appellent le six-pack, ces putain de tablettes de chocolat que moi j’appellerai plutôt un pack de huit… C’est beau, c’est à se damner ; et ça sent tellement bon ; un mélange de parfums de propre, de lessive, de fraîcheur de peau, de gel douche et de déo, et de bonnes odeurs de mec désormais si familiers, et donc si rassurants, tout ce bonheur olfactif que j’appellerais volontiers le « bouquet Jérém », ce bouquet qui me rend dingue dès la première inspiration. Je me jette sur sa queue comme un malade, affamé, avec une envie ...
    ... brûlante de le faire jouir ; ses mains saisissent mes épaules, me repoussent, je sens mon corps pivoter, j’ai l’impression d’être une poupée sans volonté dans ses mains. Je sais ce dont il a envie, j’en ai terriblement envie aussi. Je me retrouve dos contre le mur, tête contre le mur ; sa queue s’enfonce dans ma bouche, ses coups de reins reprennent, puissants, profonds, de plus en plus rapides, de plus en plus violents… parfois il s’arrête, le gland coincé au fond de mon palais, comme s’il voulait m’étouffer ; je le repousse un peu pour reprendre mon souffle, je le laisse revenir à la charge, avec un bonheur intense… tout ce que tu veux, mon Jérém, pourvu que tu me laisses goûter à ton jus de bogoss. Je suis hors de moi : d’autant plus qu’une de ses mains s’est glissé dans le col de mon t-shirt pour titiller mon téton ; et même si je sais qu’il ne fait pas ça pour moi, qu’il le fait juste parce qu’il sait que l’excitation que cela me procure se traduit par un plaisir d’autant plus intense pour lui ; mais qu’importe, je suis fou, j’ai envie de tout faire pour lui donner encore plus de frissons ; je lui caresse les boules, elles sont lourdes, chaudes, rebondies, bien pleines ; j’attrape ses fesses, je les serre, c’est musclé, c’est dur comme du béton… Il faut avouer que, plus ça va, plus je trouve un côté sacrement excitant dans le fait de faire ça dans l’entrée, au pied de l’escalier, avec le danger de se faire gauler. Un danger limité, certes, vu l’heure, mais un danger quand même. ...
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