1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (25) Nouvelles séances SM


    Datte: 19/02/2020, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... c’est quand mon père, excédé, me mettait sur ses genoux, descendait ma culotte et me fessait avec force et longuement. Je faisais d’ailleurs en sorte que ça dure, en poursuivant mes insolences. Je savais en outre que cela lui faisait de l’effet, car je sentais une belle érection dans son pantalon. Ma mère lui disait : • Voyons tu devrais cesser de lui administrer des fessées, même si elle est insupportable. Olga n’est plus une enfant, c’est une jeune fille. • Ta fille est une garce, elle a besoin d’être corrigée ! Ces explications ne justifient pas mon comportement et ma lâche soumission, pas plus que le plaisir que j’ai pu prendre dans ces séances que je vais raconter et qui se déroulaient dans la maison de campagne, de Jean et Christine, le « château », comme je l’ai raconté au sujet de la première expérience SM que j’avais subie (voir le récit numéro n°16). Je vais donc évoquer ces séances au « château », mis régulièrement à la disposition de Marie C., qui était la grande ordonnatrice de ces soirées, qui furent nombreuses tant que ma grossesse ne conduise à les annuler, provisoirement, pour mieux les reprendre après que je sois jugée à nouveau « opérationnelle » à reprendre des relations sexuelles, examen gynécologique à l’appui. Je rappelle que le bâtiment comprenait notamment une grande salle au sous-sol, éclairée à la bougie, aménagée en lieu de plaisir et de souffrance, avec notamment des chevalets, des tables et des croix de Saint-André. Marie C. qui sélectionnait ...
    ... les participants parmi les amateurs de SM, ne cachait pas que son objectif était de me faire souffrir. Nous entrons dans la salle, je sais ce qui m’attend. Je n’ai pas écouté Philippe, qui a essayé de me dissuader. Il a néanmoins voulu m’accompagner. Il est lui-même partagé entre son candaulisme qui le pousse à jouir de mon plaisir, et en même temps ne supporte pas qu’on me fasse du mal. Il a surtout du mal à comprendre que j’y prenne du plaisir. Je suis déjà excitée, les pointes de mes seins sont dures et je mouille déjà. Marie accueille les invités, une dizaine, dont certains portent des masques pour ne pas être reconnus. • Voilà celle que je vous ai promise. Et lui, c’est Philippe son mari. Ce qu’il aime avant tout, c’est la voir jouir. Moi je le veux et je finirai par le convaincre de quitter cette petite putain. Elle est à vous, mes amis, faites lui tout ce dont vous avez envie, faites la beaucoup souffrir, vous me ferez plaisir car je la hais. Elle saisit le col de mon vêtement et le déchire violemment de bas en haut, dévoilant ma poitrine, et mon pubis à la vue de tout le monde. Je suis immédiatement attachée à des chaînes assez longues. Devant moi se placent Marie et deux hommes. Marie se plante devant moi, et me gifle violemment, des larmes coulent sur mes joues, ce qui fit sourire les trois personnages. Elle me caresse les seins. Ces caresses, après la gifle, me troublent terriblement, je suis surprise de trouver cela agréable, être caressée en étant attachée. Elle me ...
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