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Bourgeoisie provinciale
Datte: 19/02/2020, Catégories: fh, fplusag, fagée, pénétratio, fsodo, intermast, Voyeur / Exhib / Nudisme bain,
... Vous me trouvez peut-être trop vieille pour vous, jeune homme ? Ou pas assez bien à votre goût ? Je ne savais plus, je ne savais pas, je n’y avais même pas songé en fait. C’était une espèce de catastrophe naturelle qui s’abattait sur moi et je ne savais comment réagir ! Je voyais comme des lambeaux de ma vie se détacher de moi et me contentais d’observer passivement ce gâchis ! Ce n’est pas qu’elle m’intéressait ou qu’elle ne m’intéressait pas : C’est que je ne l’avais même pas envisagée comme objet sexuel ! Pour moi elle était asexuée et étrangère à ces choses là. — Non, je ne vous trouve pas vieille, finis-je par dire avec une toute petite voix. Mais j’ai un peu de mal à….— Du mal à imaginer qu’une femme comme moi puisse aimer le sexe. Mais une femme comme moi est tout à fait comme vous, de chair et de sang. Croyez-vous donc que je ne sois QUE guindée ? Ne suis-je donc qu’une image pour vous ? Ne pouvez-vous pas imaginer que moi-aussi je bouillonne ?— Oh si bien sûr !— Sur l’oreiller je suis au moins aussi vulgaire que tout ce que vous voudrez bien m’en montrer… On fait le pari ? Quel curieux négoce que ce pari absurde ! Du genre tope là que je te montre que je suis au moins aussi salope que tout ce que tu as connu… De là à se rapprocher de moi, à se toucher avec les mains, simples attouchements sporadiques mais déjà échange de chaleur. Je naviguais entre stress et désir, j’y vais, j’y vais pas, c’est son chemisier blanc qui m’a fait pencher du bon côté, qui m’a fait dire ...
... que oui, ses seins… J’avais envie d’elle, de la toucher… J’ai dégrafé un bouton lentement et j’ai glissé sur son corps chaud et provocant. Et il n’y avait dans la pièce plus aucune mamie mais simplement une femme qui avait envie, dont la poitrine brûlante battait au rythme de son cœur. Je l’ai enlacée et l’ai embrassée, nos langues se sont mêlées, on aurait presque dit une adolescente qui découvre l’amour, qui donne toutes ses aspirations dans cet abandon total que seuls les grands romantiques peuvent connaître. Nous étions encore dans le salon, je l’ai basculée sur la banquette, prenant soin de dégrafer lentement son chemisier, de dévoiler ses formes, de me repaître de sa grâce. Mais la fièvre était plus forte, s’est emparée de nous, il a avait comme une urgence, l’envie frénétique de baiser, là tout de suite, sans plus attendre. Inutile d’être raisonnables, il serait toujours temps de l’être plus tard. Je lui ai tout arraché et, c’est ce qu’elle voulait, elle m’y encourageait, avant de plonger corps et âme sur son entrecuisse soigneusement épilée et déjà toute trempée. Faire l’amour dans l’urgence, faire l’amour à perdre haleine, comme ça, vautrés sur le sofa, ses jambes posées sur mes épaules, ma bite profondément figée dans son intimé. — Baise-moi, plante-toi bien à fond que je sente ta grosse pignole me labourer… J’aime que ta grosse pine bien dure me transperce… J’veux être ta chienne et que tu m’enfile par tous les trous… Graveleuse à souhait, elle n’arrêtait plus de ...