1. C'est au pied du mur qu'on voit le mieux... le mur


    Datte: 22/02/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail dispute, Oral pénétratio, fsodo, vengeance, cocucont,

    ... lumière. Aline a trouvé l’interrupteur le long du fil. La lumière, pourtant blafarde, l’éblouit. Cyril est devant elle, à genoux sur le lit, le sexe tendu. Son regard est celui de la découverte béate d’un trésor, d’une illumination sidérante. Elle se sent belle tout à coup dans les yeux de cet homme qu’elle n’avait pas imaginé sans son habituel costume. Il est jeune, musculeux, presque imberbe. Ce n’est pas une gravure de mode, mais elle a envie de lui, encore, de sentir sa peau contre la sienne, de transpirer avec lui. Il s’allonge sur elle et saisit sa bouche pour la pénétrer de sa langue avec une infinie tendresse. Il couvre son corps de ses grandes mains chaudes et douces, l’explore de ses doigts et de ses yeux curieux, la hume avec délectation. Il va la posséder à nouveau, mais avant cela il veut profiter ; elle en a envie elle aussi. Elle a envie que cet homme la regarde, qu’il la voie comme elle est, offerte et sensible, impudique et animale. Elle écarte tout doucement les cuisses, inconsciemment ; elle offre son fruit défendu à ses yeux, à ses mains, à son nez. Elle sent la langue de son amant lui explorer l’intimité. Il se repaît de ses effluves, se nourrit de ses sucs ardents. Il remonte le long de son corps pour enfin la pénétrer doucement, tendrement. Elle se cambre pour l’accueillir, le serre dans ses bras pour fusionner leurs corps. Leur étreinte est sensuelle, lente. Elle le garde en elle et veut que ça dure, qu’il bouge peu, lentement, profondément. Il ne ...
    ... perd pas une occasion de saisir chaque parcelle du corps de cette femme pour le fixer dans sa mémoire, celle des images, celle du toucher, celle des odeurs. Elle se sent amoureuse. Elle le veut encore ; elle fait durer, et il l’a bien compris. Cyril s’est tapé une salope dans le noir, une avide de bite qui criait en lui offrant sa croupe. Il fait l’amour à une femme qui aime son corps, qui réclame sa tendresse. Il veut tout lui donner de ses sensations, du moment magique qu’il vit avec elle. Il en pleure presque quand enfin elle le presse d’accélérer ses mouvements. Il la sent jouir sous lui. Elle lui mord une oreille et lui griffe le dos, elle se cambre avec force et le retient. Leurs jouissances sont simultanées, fortes, pleines et profondes. Aline aurait voulu que ça dure encore. Ils restent enlacés, sous la couette, sans parler. Ils se regardent et se caressent. Aline est sur un nuage, hors du temps. Il vole avec elle, ils ne font qu’un. Elle sent tout à coup une forme de panique la submerger, quitte le lit à la hâte, se précipite hors de la chambre pour chercher ses vêtements sur la mezzanine, qu’elle passe rapidement pour s’enfuir. En partant, elle passe la tête à l’entrée de la chambre, fait à Cyril un petit signe d’adieu, des larmes dans le regard, sans voix. _____________________ — Te voilà enfin !— Tu ne dors pas ?— Il est cinq heures du matin.— Je sais.— T’étais où ?— Ça ne te regarde pas.— Tu as toujours ta culotte ? Aline sait que c’est un moment de vérité. Elle ne ...
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