1. C'est au pied du mur qu'on voit le mieux... le mur


    Datte: 22/02/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail dispute, Oral pénétratio, fsodo, vengeance, cocucont,

    ... pu refuser d’arrêter, elle n’aurait pas protesté. — Je te reconduis au salon ?— Approche…— Mais tu es nue !— Oui : dans le noir, ça ne fait pas de différence.— Ta peau est douce…— Merci ; mais je ne sens pas la tienne.— …— …— Voilà, Aline. Je suis nu moi aussi.— Je sens.— J’ai très envie de toi…— Ça se sent ça aussi. Tu bandes dur !— Tu m’autorise à te faire l’amour ?— Non.— Je ne comprends pas alors…— Ne me fais pas l’amour : baise-moi, abuse de moi, saute-moi, défonce-moi… Aline évacue ses frustrations dans les mots peu châtiés qu’utilise son mari pour évoquer ses éventuelles frasques, et en les prononçant, elle sent le besoin impérieux de les éprouver, de les ressentir. Elle se laisse enlacer et caresser. Elle se laisse embrasser et ne résiste pas quand Cyril la pousse au sol pour la mettre à genoux. Elle le laisse la pénétrer profondément. Elle n’a pas vu son sexe, mais elle s’en fout. Il la remplit à merveille et lui procure d’exquises sensations. Elle se comporte comme une pute, et elle adore ça. Elle n’a plus froid. Sa sueur se mêle à celle de son amant dévoué qui la bourre comme un malade. Elle entend les bruits de l’amour bestial, les râles de son baiseur, ses propres cris aigus qui transpercent la nuit. Elle est heureuse. Ses sens sont exacerbés. Elle ne proteste même pas quand Cyril lui titille l’anus avant d’y entrer un pouce. Elle ne se serait pas laissé aller à une telle impudeur en plein jour, mais ils ne se voient pas ; ils peuvent juste s’imaginer et se ...
    ... sentir. Ses seins sont douloureux tellement ils sont tendus et excités. Cyril la tire par les cheveux et se crispe, proche de l’extase. Elle lui demande de ne plus s’arrêter, de jouir d’elle, de jouir en elle. Cyril rêvait de la posséder. La réalité est tellement plus exquise que ses rêves… Il n’aurait pas rêvé qu’elle se donne ainsi, la croupe offerte, la chatte trempée. Il sent ses testicules remonter au moment de jouir quand elle le lui demande. Il se répand en elle et s’affaisse de tout son poids. Ils reprennent leurs esprits. La honte est venue s’installer dans la tête d’Aline, qui regrette déjà. Elle voudrait s’enfuir et oublier. Mais le sperme qui lui coule le long des cuisses et les mains de Cyril qui lui caressent les jambes lui rappellent qu’elle est toujours là, nue, entre ses mains. Elle se sent quitter le sol. Il la porte dans ses bras. Elle le prend par le cou. Elle s’abandonne. Ils descendent les escaliers, tout doucement, puis ils se dirigent vers la droite. Il ouvre une porte, fait quelques mètres et la dépose sur un lit. — Tu vas dormir là.— Juste quelques heures. Je partirai après avoir dormi un peu.— Je peux rester avec toi ?— Si tu restes, on ne va pas dormir.— Tu accepterais que je te baise à nouveau ?— Non.— Juste dormir, alors ?— Non. Je veux que tu me fasses l’amour.— Volontiers…— Viens !— Tu cherches quoi ?— Il y a bien une lampe de chevet quelque part ?— Tu veux allumer ?— Oui. Tu peux me baiser dans le noir, mais pour faire l’amour j’ai besoin de ...
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