Pagaille !
Datte: 23/02/2020,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
froid,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
jeu,
champagne,
... suis pas du tout. Comme je suis gentille, ce soir ! — Un peu quand même… Mais…— Mais tu as fait pareil avec Charles-Henri, hein ?— Oui, bien sûr. Elle manifeste le désir de m’aider. Je lui demande de mettre les poêles à chauffer et je sors les assiettes et les verres que je dépose sur la table basse du salon car celle de la cuisine est faite pour deux, pas pour six. J’ai deux poêles mais les verres seront en plastique et les assiettes en carton parce que je ne dispose pas de lave-vaisselle. Bénédicte sort toute nue de la salle de bains et se dirige vers la chambre, dont elle ressort affublée de la chemise de Mickaël. Lui, il va dans la salle de bains, seul. Anne-Laure a posé une main sur la cuisse de Charles-Henri. Tiens, la voilà qui la promène maintenant, sa jolie main déjà guérie, dans les poils de sa virile poitrine ! Et Charles-Henri qui se laisse bien faire ! Mieux, il se penche et approche ses lèvres du soutien-gorge de fine dentelle. Alors moi, d’un ton sévère : — Charles-Henri ! Il se redresse, me regarde, fait semblant d’être confus. Mais je ris. Il se rassure et dépose un baiser sur la dentelle noire qui écrase la pointe du sein d’Anne-Laure. Puis de l’autre côté. Puis sur le nombril. Voilà donc ce que valait sa déclaration de tout à l’heure ! — Prenez place autour de la table basse. Premières crêpes avec jambon et gruyère râpé, les autres avec miel et confiture. Ça vous ira ? Ça ira tout à fait. Mickaël sort de la salle de bains, il a mis un boxer bordeaux. Il ...
... s’installe entre Bénédicte et Anne-Laure. Charles-Henri se met en face. Virginie n’a pas chômé, j’enroule quelques crêpes en y plaçant jambon et fromage. Je les ferai réchauffer tout à l’heure dans le micro-onde. Avant, apéritif ! — Mickaël, tu veux bien t’occuper de la bouteille de champagne qui est dans le frigo ?— Celle prévue pour la Saint-Valentin ?— Tout juste ! C’est d’ailleurs la seule, tu le sais bien. On en achètera une autre. Peut-être. Maintenant je suis assise en tailleur. Le bas de ma nuisette est suffisamment relevé pour que Mickaël, qui vient de servir à boire, dispose d’une vue imprenable sur le nid d’amour dont il avait, depuis trois mois, l’exclusif usufruit. Mais ce n’est plus vrai depuis tout à l’heure, il l’a bien compris et il semble en être quelque peu attristé, quand même. En tout cas, il toise assez méchamment Charles-Henri, lequel ne se fait pas faute de regarder mes seins qui pointent sous ma très transparente nuisette. Il est vrai qu’il ne les a quasiment pas encore vus, il les a empoignés. S’il se penche un peu il verra, lui aussi, mon bijou rose et noir ! Et il se penche, en effet, ce qui fait sourire Bénédicte. Les verres sont vite presque vides. Virginie prétend que la tête lui tourne déjà. Mickaël m’interpelle : — Vérité, Sophie ! Oseras-tu nous dire ce que je t’ai fait avec la bouteille de champagne le jour de ton anniversaire, le mois dernier ?— Oh mais bien volontiers ! Tu as enfoncé le goulot dans ma chatte. Il y restait du champagne, tu ...