Solstice d'un fleuve
Datte: 26/02/2020,
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BDSM / Fétichisme
nostalgie,
... Peut-être suis-je dans le rôle du serpent venu corrompre leur innocence. Leurs regards passionnés reflètent les flammes des bougies en rouge, en vert, en jaune. Comme je ne fais rien pour me dissimuler, ils finissent par remarquer ma présence. De même qu’à la voisine de Magalie, que dire alors, sinon « bonsoir » comme à des randonneurs que l’on croise, dans une convivialité que la nature sauvage encourage ? Ils me font signe d’approcher. Heureusement, ma présence ne les choque pas. Ils me demandent même si je veux bien les photographier. Oui, je veux bien. Le matériel est dans le sac que je n’avais pas remarqué, juste à côté de moi. Capturer l’acte sexuel dans une série d’images n’est pas si facile : en plus des membres entremêlés, il faut prendre en compte le mouvement, le plaisir, la tendresse, la sensualité, les yeux des amants tout emplis de désir, les sexes réjouis fusionnant, pleins d’ardeur. Éviter de recourir au zoom afin de laisser le peu de lumière disponible entrer dans l’objectif. Le fleuve qui s’écoule tout autour d’eux offre son puissant rempart à leur intimité. Elle et lui n’ont pas d’âge, pas d’autre couleur de peau que celle de la nuit et des eaux qui les entourent, et leur seul pays est celui de l’humanité tout entière occupée à la seule activité qui ait une réelle importance. Quand l’homme se vide de sa semence, il est si exalté qu’il semble soudainement se déposséder de la totalité de ses fluides vitaux au profit de la femme. Celle-ci, par contre, n’a ...
... pas d’orgasme, ou bien d’une manière si discrète qu’il n’y paraît rien. Puis nous passons un peu de temps à discuter, comme des voyageurs insomniaques lancés dans train de nuit. Ils ont choisi cette île pour sa tranquillité, afin d’y vivre nus sans aucune contrainte durant quelques jours de vacances. J’espère ne pas les avoir dérangés. Non, heureusement, et je suis la bienvenue parmi eux, grâce au fait que sois allée vers eux dépouillée comme eux de tout vêtement. Un simple maillot de bain sur moi aurait tout gâché de cette belle rencontre. Les complications qui ont habituellement lieu autour de la séduction et de la sexualité n’ont pas cours ici. Nous sommes dans un autre monde, coupés du reste des humains. Ils peuvent me regarder sans aucun voile artificiel, et disent spontanément que je suis belle et qu’ils me désirent. Quand je leur explique que je suis lesbienne, la femme me propose de s’unir à elle en toute simplicité, avec l’accord de son compagnon et sous ses yeux. Elle est bisexuelle et aime varier les partenaires. C’est une offre que je ne sais pas refuser. Attirée par ses odeurs bucoliques, j’ai envie de lui prodiguer un cunnilinctus. Allongée sur le dos, elle écarte les cuisses et m’offre sans façon sa fleur intime. Elle est en période de règles : le parfum capiteux de ses abondantes menstrues emplit ma bouche et mon nez, comblant à souhait mon insatiable désir de féminité. Je n’ai pas peur d’en avaler ni d’en barbouiller mon visage, front, joues et menton, pour le ...