Dodge the dodo
Datte: 26/02/2020,
Catégories:
ff,
intermast,
Oral
tutu,
ecriv_f,
... précis que ma langue entre dans ta bouche, cherche sa jumelle; ma chatte se plaque sur la tienne dans un mouvement de mes reins, je me frotte à toi, ton sexe avec le mien, sur tes seins que j’écrase presque de mon poids, de la violence de ma passion, je te cambre en t’attrapant par la nuque de la main gauche. Ton cou est offert. La batterie est pressante. Tu coules sur mes cuisses. Je bouge, je te branle le clito avec mon pubis, tu halètes, je gémis, tu es si belle ainsi offerte, tes yeux s’ouvrent et se ferment mais tu ne vois plus rien, tu sens que le morceau est bientôt fini, tu as peur, tu es triste, tu veux jouir et en même temps tu veux que ce plaisir que tu ressens si profondément ne s’arrête pas. Dans l’hystérie du désir je mords ton épaule. Mais je n’ai pas envie de te faire mal. Tu m’attrapes la nuque pour pouvoir m’embrasser, mais je ne te concède qu’une rapide et légère morsure de la lèvre. Nos regards se croisent. Tu me défies, je replonge dans ton cou. De ma main droite je commence à te branler, tu sens la relation entre ma prise sur ta nuque, ma morsure, ma main sur ton sexe trempé… J’adore t’entendre gémir de plaisir. J’alterne caresses diffuses et rapides, avec de lentes et fortes pressions. Tu feules comme une tigresse qui veut sa ration… Je lâche ton épaule, ta nuque. 25 secondes encore et le morceau est terminé… Par-dessus la musique qui est presque assourdissante et qui te rentre dans la chair, je te crie presque de jouir, mes yeux plantés dans les tiens. ...
... Je te l’ordonne : «Tu vas jouir. Tu vas jouir pour faire honneur à cette musique, pour achever d’être en phase avec elle.» Je glisse ma main gauche sous tes fesses, et presque sans ménagement, y enfonce le majeur, comme tu as toujours adoré. Je continue à te parler, tu aimes ça, je te dis que tu m’excites, que moi aussi je suis trempée, que sur nos cuisses, nos ventres, sont mêlés toute notre excitation, notre désir. Presse-toi, 10 secondes. Juste le temps d’un dernier accord… Un deuxième doigt dans ton cul déjà bien ouvert, ma bouche attrapant un de tes seins, mes doigts te branlant comme une démente, l’odeur de nos corps en sueur, la musique et nos respirations mêlées, nos gémissements, nos cris, tes ongles dans ma peau que tu lacères en grognant; tout cela te fait jouir… Tu jouis, ma belle, et pendant ces quelques secondes irréelles, je glisse mes doigts au fond de toi afin que ton orgasme dure…que se prolonge ce moment où nous ne ne faisons plus qu’une. Car ce que je sens me traverser les reins est bien un orgasme. Je jouis de te sentir jouir, cette émotion, ce tremblement qui t’agite, tu me le transmets avec une force qui me fait parfois frémir. Le silence se fait dans la pièce, et pourtant la musique résonne en toi comme si les notes et mes caresses étaient gravées dans ta chair… Tu as du mal à reprendre tes esprits, tu pleures presque, tu sais pourquoi je t’ai fait l’amour avec une telle fureur et tu paniques. Tu sais aussi que lorsque tu entendras à nouveau ce piano, ...