Petits secrets de village - Carole et Fanny
Datte: 01/03/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... fait … Ils venaient enfin de parler de ce qu’elle avait vu … les mots échangés ont été suivis de gestes … et c’est ce qu’elle a dit, après sa première fellation, qui a déclenché la suite … « J’ai honte, je mériterais une fessée … » Benoît, son mari, a ri. Pour jouer, au début tout au moins, et sans doute libéré de sa réserve habituelle par ce qui venait de se passer, il l’a couchée sur ses genoux et a retroussé sa longue robe de chambre en coton, lui a donné deux claques sur les fesses, la fessée qu’elle disait devoir mériter, et sans doute parce que c’est sa nature aussi, il ne s’est pas arrêté à ces deux claques, a allumé la lampe de chevet, et lui a administré une vraie fessée à rougir son postérieur et y laisser la marque de ses doigts. Fanny sentait le sexe de son mari se tendre contre son ventre, sentait aussi son propre sexe s’inonder. Bien sûr Benoît s’en est aperçu. S’arrêter et lui faire l’amour ? Il ne s’est pas arrêté … et pour la première fois en 15 ans de mariage il a fait jouir sa femme. Pour la première fois Fanny a découvert le plaisir, de ses fesses malmenées ! Fanny avait honte, passait de longues heures en prière, mais c’est elle un jour qui a posé une badine de bambou sur la table de nuit, et parce que la chambre des enfants étaient juste au bout du couloir, pour ne pas les réveiller, Benoît l’a entraînée au rez-de-chaussée jusque dans la réserve tout au fond du magasin. C’est lui qui un jour a eu l’envie de l’attacher les bras étirés d’une corde passée ...
... autour d’un tuyau de chauffage, lui aussi qui a acheté dans un magasin de sport, au rayon équitation, la cravache dont il se sert maintenant pour faire jouir Fanny. Ni l’un ni l’autre n’avait suffisamment d’imagination pour ces soirées peu ordinaires. Benoît, le premier, s’était mis à regarder des clips sur internet où étaient exposées de telles pratiques, et essayait de reproduire ce qu’il y voyait, ne s’imposait pas vraiment de limites dans la mesure où Fanny à chaque fois prenait un plaisir évident, avait parfois plusieurs orgasmes. Lui se disait « si c’est trop, elle le dira ». C’était parfois trop pour Fanny, mais elle ne disait rien, et malsain ou pas, elle y prenait plaisir, malgré l’escalade. Elle a surpris un soir Benoît devant un de ces films sur internet, et a regagné sa chambre sans lui en parler, s’est relevée dans la nuit pour rechercher sur le navigateur quel site il avait visité. Elle a trouvé. Elle est souvent retournée sur ce site, a vu de nombreuses images qui avaient beaucoup d’effet sur elle, a reconnu où Benoît trouvait ses idées. Fanny et Caroline ont travaillé en silence, sans échanger un seul mot, yeux baissés et rougeur leur montant aux joues aux regards croisés, chacune n’ayant en tête que leur dernière rencontre, le trouble qui les avait saisies et qui restait là, entre elles. Fanny ne pouvait s’empêcher de lever les yeux dans la réserve sur le tuyau de chauffage au-dessus duquel Benoît passait la corde qui lui blessait les poignets quand il étirait ...