1. Une aventure révélatrice et inattendue


    Datte: 22/09/2017, Catégories: fh, fplusag, frousses, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, confession, occasion,

    ... m’arrêter durant la pause de midi. Mon esprit réellement canalisé sur les écritures comptables, je ne faisais presque plus attention à elle. Toutefois, elle ne m’oublia pas. Elle me demanda où j’allais déjeuner. Elle n’insista pas et de me proposa de me rapporter un sandwich, ce que j’acceptai. En revenant avec mon frugal repas, elle me fit remarquer qu’elle avait eu des échanges avec son patron, et qu’ils avaient convenu que ce serait finalement elle qui resterait avec moi en fin de journée : — J’ai également les clefs de l’entreprise. C’est bientôt le week-end et Monsieur xxx [l’adjoint du directeur] habite assez loin. Et puis, ce sera plus pratique, car si vous avez besoin d’éléments pour votre travail, je sais où ils sont. Monsieur xxx, c’est un hydraulicien compétent, mais il ne connaît rien à la comptabilité !— Je risque de terminer tard… Vous n’êtes pas attendue ? Elle se gaussa : — Ah ! Mes enfants sont grands et je suis divorcée… Ne vous en faites pas : terminez votre travail sereinement. Moi aussi je dois continuer le mien ; je serai dans le bureau du commercial, au bout du couloir. Appelez-moi si vous avez besoin de quelque chose, je suis là pour vous servir ! Sa dernière phrase fut appuyée d’un air aguicheur. En sortant, de la pièce, je replongeai avec faiblesse dans un léger voyeurisme en regardant ses fesses charnues moulées dans la nouvelle petite jupe. Elles étaient très arrondies et ses pas les faisaient tourner à en perdre la tête. La porte se referma. ...
    ... Retour au boulot oblige. * * * Malgré quelques passages succincts accompagnés d’encourageantes paroles, je ne me laissai plus distraire par la secrétaire. Je voyais enfin le bout du tunnel et l’horloge finit par approcher les 18 h 30. Il commençait déjà à faire nuit quand Madame G. me rejoignit pour prendre place dans son siège : — Alors, vous vous en sortez ?— Oui, c’est presque fini. Je vérifie encore quelques chiffres.— Nous sommes seuls et je suis à votre disposition ! À l’écoute de ces mots, quelle bouffée de chaleur ! Je ne savais même plus l’écriture que j’étais en train de repasser… La fatigue, conjuguée à l’excitation montante, me firent comprendre que j’avais atteint un point de non-retour. Et je n’attendais finalement que ça depuis que j’avais découvert les formes de la rouquine. Paradoxalement, je voulais, ou plutôt je tentais malgré tout de préserver une parcelle de ma ligne de conduite décidée la veille, en déplaçant vers la gauche de mon bureau une pile de classeurs et de chemises : — Si vous voulez, vous pouvez ranger ceux-là.— Bien sûr !, me répondit-elle avec un sourire et des yeux coquins. Elle poursuivit ses paroles avec des gestes théâtralisés dignes d’une introduction d’un mauvais film porno des années 70 : elle humecta, grossièrement, le bord de ses lèvres d’une commissure à l’autre ; son regard, qui ne se détachait pas de moi, était brillant et vicieux ; sa démarche était lourdement langoureuse. Elle prit son temps pour se pencher afin de récupérer les ...
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