Une aventure révélatrice et inattendue
Datte: 22/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
occasion,
... s’agissait d’une PME en Seine-et-Marne, spécialisée en maintenance d’engins de TP. Le travail qu’il m’a confié était l’inspection et la remise en ordre de livres de compte, prestation apparemment classique et sans surprise dont je n’aurais jamais soupçonné le dénouement et la révélation… * * * MERCREDI 10 FÉVRIER – LA DÉCOUVERTE Arrivé en milieu de matinée, je fus « accueilli » par un directeur aussi charismatique qu’antipathique. En me dévoilant avec dédain le cagibi qu’il me réservait pour effectuer mon travail, il me pointait ensuite du doigt des piles de papiers qui m’attendaient en souffrance, à même le sol crasseux. Et il m’y laissa croupir. Sans même prendre la fatigue d’objecter, je m’installai nonchalamment dans cette cage sans fenêtre et tentai d’organiser mon mini espace de travail en exploitant le moins mal possible le comptoir d’un ersatz de bureau. Je peinais déjà à la simple vue de la seule petite chaise scolaire qui me flattait de son assise et son dossier faits de bois et cerclés de métal… et leur inconfort légendaire. Alors que je commençais à prendre place, apparut dans le chambranle de la porte, l’adjointe du désagréable bonhomme. Bon sang ! En une fraction de seconde, la vue en pied de cette sculpturale femme m’a provoqué une montée de sensations picotantes d’un désir qui allait crescendo, un réveil émotionnel inattendu et soudain. Sous cet effet surprenant, je suis resté béat devant la beauté et la richesse des courbes prononcées, si brutalement ...
... douces, qui dessinaient son corps. Cette dame paraît avoir environ quarante-cinq années et je subodore qu’elle en a peut-être une dizaine de plus ; effectivement, elle me semble être une de ces femmes matures prenant soin de son apparence physique et, en tout cas, de son allure vestimentaire. Aussi Madame G. est une femme rousse d’environ un mètre soixante-quinze dont les cheveux courts ont une coupe dynamique et laquée ; elle porte des lunettes blanches et des petites boucles d’oreille de la même couleur. Son visage, à l’instar de celui de son patron, a des traits stricts et droits. Son nez est légèrement aquilin tandis que sa bouche est charnue. Quant à ses yeux marrons, ils sont soulignés d’un maquillage fait d’un trait noir épais fuyant vers un filet blanc, équilibrant ainsi subtilement sa monture. Durant ces trois jours, j’ai toujours vu son cou orné d’un collier de perles beiges assez grossières, davantage semblables à des billes de perlimpinpin. Néanmoins, ce qui me séduisit instantanément, c’est sa superbe silhouette, tellement féminine, combinée à sa tenue vestimentaire qui exacerbe presque à la perfection tout ceux qui ont un jour fantasmé sur une voluptueuse secrétaire. Les tiraillements, vaguelettes et plis tendus du tissu de son chemisier blanc trahissaient une poitrine généreuse, et particulièrement alléchante. Sa jupe noire entourait un ventre un peu rebondi ; elle s’accrochait à des hanches fortes et se ceinturait ensuite, jusqu’en dessous des genoux, à des cuisses ...