1. Une aventure révélatrice et inattendue


    Datte: 22/09/2017, Catégories: fh, fplusag, frousses, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, confession, occasion,

    ... risque, je restais sur ma décision de la veille : me tenir sérieusement à mon travail. Et j’avais à faire. Quelques temps plus tard, elle revint dans le bureau. Tel un écolier réprimandé, je ne me laissai plus distraire et continuai mes rapprochements comptables. Je sentis qu’elle s’approcha de moi et vit qu’elle me posait délicatement un gobelet sur ma table : — Je vous ai pris du café. Vous voulez un sucre ? me souriait-elle en me montrant des sachets dans sa main En deux jours, elle ne m’avait jamais proposé d’un rapporter un ! — Euh… Merci de votre attention : j’accepte volontiers. Je ne mets pas de sucre, merci. Je vous dois combien ? Elle se mit à ricaner : — Arrêtez, je vous en prie ! Et puis, réflexion faite, ça risquerait de vous coûter cher ! Elle fit ensuite le tour de nos comptoirs. Je remarquai qu’elle avait troquée sa jupe mi-longue contre une jupe bien plus courte, à la limite du modèle mini. Certes, elle était en laine, mais ce jour là, il faisait en dessous de zéro degré dehors ! Et ce temps glacial perdurait depuis plusieurs jours : impossible donc de soupçonner qu’elle ait oublié de regarder la météo ; elle ne pouvait effectivement qu’avoir quelque chose de bien précis derrière la tête… Ainsi, tout en tenant d’une main son gobelet, elle s’accouda, debout, avec une décontraction douteuse, contre le dossier de sa chaise. Elle maintenait son sourire et me projetait un regard qui aurait arraché ma chemise. Bien que je ne veuille plus jouer au voyeur, sa ...
    ... position savamment calculée rendait impossible de ne pas constater que son chemisier avait deux boutons ouverts et que ses seins lourds étaient ostensiblement pendants. Elle qui me paraissait si classe il y a quarante-huit heures, devint vulgaire. Elle ajouta au tableau obscène et grossier un sourire forcé et un regard vicieux transperçant. Dans mon esprit, je ne voyais plus une belle paire de seins, mais de grosses mamelles tels des pis de vache… Et pourtant, voila que cela m’excitait encore, voire plus… Pour couper l’ambiance tendue, je pris la parole : — Je dois poursuivre mon travail, car je suis très en retard. Je n’arrête pas de me déconcentrer et je n’ai plus qu’aujourd’hui pour tout finir.— J’ai compris, je vous laisse tranquille. Si vous avez des questions, n’oubliez pas de me demander. En écrivant ces lignes, je me rends compte de l’absurde situation. Mais dans le contexte, compatissez que j’étais perdu. En si peu de temps, j’étais passé par des sentiments forts et contradictoires. J’avais même cru à la possibilité d’un blâme voire de perdre mon travail. Et puis j’avais peur d’être encore une fois à côté de la plaque ; je me convainquis que, si elle avait envie d’une relation avec moi, elle n’hésiterait pas à me provoquer davantage, tant elle semblait pouvoir être entreprenante. * * * Aussi incroyable que cela puisse paraître, j’ai beaucoup travaillé et commencé à refaire mon retard ! Dans la logique de ma poursuite d’efforts, je décidai de travailler en continu, sans ...
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