Une aventure révélatrice et inattendue
Datte: 22/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
occasion,
... érotiquement galbées rappelant celles de certaines peintures romantiques de Jean-Jacques Henner. Gantées d’un lycra noir, ses jambes perchaient au-dessus d’une paire de chaussures à talon tout aussi sombre. — Vous êtes l’expert comptable ? me demanda-t-elle sèchement, sans même prendre la politesse de me saluer. Bien que d’ordinaire je laisse, ou tente de laisser, à mes interlocuteurs un sentiment d’assurance, l’éblouissant tableau de l’impressionnante secrétaire me fit lâcher un ridicule petit « oui » qui fusionnait parfaitement avec la scène d’un bonhomme piteusement assis derrière une attablée scolaire croulant sous quantité de papiers. J’accompagnai mon incroyable éloquence d’un fébrile hochement de tête. Elle jeta quelques rapides regards sur ma geôle : — Vous arriverez à travailler ici ? On n’y voit presque rien… En fait, on s’en sert de local d’archives, voire de débarras ! Et puis, ce bureau est minuscule ! J’essayais de reprendre un ton plus assuré, ce ne fût pas difficile : — Oui, j’avais remarqué ! Mais votre directeur avait l’air très pressé et pas du tout préoccupé de la chose. Il m’a montré les dossiers et il m’a planté là !— Oui, comme vous pouvez vous en douter, il est préoccupé par les courriers de l’URSSAF et d’un litige avec un de nos gros clients. Et puis les chiffres du mois dernier sont encore en deçà de nos objectifs. La reprise est difficile. Elle balaya ensuite du regard les piles de dossiers et haussa son menton : — Prenez vos dossiers et venez ...
... vous installer dans mon bureau ; certes, il n’est pas grand, mais comparé à celui-là, il est immense ! Et puis ce sera plus pratique : si vous avez des questions sur la comptabilité, c’est avec moi qu’il faut voir, car la personne qui s’en occupait est en congés de maternité. En signe d’acquiescement, je bondis de la chaise, passai mon manteau croisé, empoignai ma sacoche, puis empilai les documents avec véhémence. Madame G. me tourna le dos et me montra le chemin. Durant ce petit périple, mon regard ne se détacha pas de ses fesses qui dansaient dans sa jupe. Comment, en effet, ne pas admirer la combinaison de leur largesse et de l’étroitesse de la jupe, que chacun de ses pas décidés animait d’éphémères ondulations qui se promenaient d’un profil à l’autre ? Ah ! Ce que j’aurai aimé à ce moment-là poser mes mains sur ses hanches, pour les laisser ensuite glisser sur le côté de ses fesses, puis venir me coller et me frotter contre elles… car je me rendais ainsi compte que la belle avait ranimée mon excitation sexuelle et je sentais qu’elle était forte ! Enfin, quand nous empruntâmes l’escalier qui faisait face à son espace de travail, j’appréciai mon nouvel angle de vision qui révéla davantage les beaux volumes mouvants. Les courbures moulées de ses fesses plongeaient à travers ses cuisses vers des mollets apparemment musclés de séances de stepper, de cyclisme ou de marches régulières. Malheureusement pour moi, ce n’était pas l’escalier infini d’Escher… Afin de gagner quelques ...