1. Une aventure révélatrice et inattendue


    Datte: 22/09/2017, Catégories: fh, fplusag, frousses, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, confession, occasion,

    ... misérables et hypothétiques fractions de secondes, je ralentissais le pas pour la laisser me devancer un peu plus jusqu’à ce qu’elle disparaisse dans la pièce qui faisait face au palier. Arrivé sur le pas de la porte, j’observai qu’elle me libérait le deuxième bureau qui faisait face au sien. Bien heureux d’être chargé des lourdes piles de dossiers et de ma sacoche, je feignis d’attendre la possibilité de les déposer sur le plan qu’elle m’allouait, alors que j’aurais tout simplement pu le faire provisoirement sur le sien et lui venir en aide… Je préférais plutôt la laisser manipuler les trois encombrants cartons de sorte à profiter encore un peu de la belle. Si son chemisier trop sérieusement boutonné ne laissa qu’entr’apercevoir la naissance de ses seins et de quelques taches de rousseur, en revanche ses mouvements de penché et de manutention les faisaient savoureusement ballotter. Mais, là encore, tout se passa trop vite à mon goût : — Vous pouvez tout poser ici et vous organiser comme bon vous semble. Le téléphone de Madame G. sonna le glas. Après quelques courtes interjections, elle raccrocha, sortit du bureau et en ferma la porte, comme pour mettre fin au premier acte. Zut, je devais à présent travailler sérieusement… * * * Le reste de ma première journée dans cette entreprise aura été misérablement professionnelle. Bien que mes pensées fussent largement troublées par la plastique de la belle, j’ai passé tout le reste de la journée dans son bureau… tout seul ! ...
    ... Effectivement, mes espérances de pouvoir à nouveau poser mes yeux sur sa ligne ont été vaines. Le responsable de mes malheurs a été le maudit taulier qui me l’accapara. Enfin, "demain est un autre jour » m’encourageais-je. * * * JEUDI 11 FÉVRIER – LE JEU DU CHAT ET DE LA SOURIS Le lendemain, je me présentais dans l’entreprise vers 9 heures dans un faux calme : mon état oscillait entre excitation et nervosité. La raison? Madame G. ! Bon sang, si vous n’avez pas trouvé vous-même la raison de mon état, c’est que vous avez sauté des passages dans mon récit [autocritique : trop long, trop ennuyeux…?]. De toute la soirée de la veille, pendant plusieurs phases de sommeil, au lever, sous ma douche, devant mon café, et sur la route qui me menait à son entreprise, je n’ai pas cessé de penser à cette femme. À la lecture de plusieurs textes publiés sur REVEBEBE, je constate que d’autres ont déjà connu ce sentiment, mais ce fut une nouvelle expérience pour moi. D’autant plus étrange que Marina, mon ex-épouse, dont j’ai été sincèrement amoureux et épris, accusait un physique antonymique à celui de Madame G. ; elle ne m’a jamais, en effet, procuré une telle torture de l’esprit. En outre, cette obsession s’était forgée sur une personne que j’avais côtoyée à peine trois ou quatre minutes de ma vie ! Bref, j’avais hâte de retrouver mon cadre éphémère de travail où je n’espérais qu’une chose : revoir celle qui me tourmentait. Après un rapide passage forcé chez le directeur pour lui présenter un vague ...
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