Une aventure révélatrice et inattendue
Datte: 22/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
occasion,
... compte-rendu de ma tâche, je saluai dans la même fougue les quelques salariés qui jalonnaient mon parcours. Depuis le bas de l’escalier, la vue de la lumière émise depuis le bureau de « ma » secrétaire me procura une sorte de soulagement et une excitation puérile qui me fit monter trois par trois les marches qui me séparaient d’elle. J’entrai enfin dans le lieu en modérant ma vivacité : — Bonj… Flûte et re-flûte ! J’étais encore seul ! Le sort s’acharnait-il ou quoi ? Très déçu, je m’installai finalement avec lourdeur et maladresse à mon poste de travail, semblable à l’attitude d’un gamin qui boude de ne pas avoir obtenu son caprice. Pour mon bonheur, ce fut une courte punition : la belle réapparut à peine une minute plus tard ! Immédiatement, je constatai qu’elle portait les mêmes vêtements que la veille, ce qui me ravit. Après des salutations cordiales et convenues, elle prit la parole : — Je suis désolée de ne pas avoir pu être disponible pour votre travail hier, j’ai été appelée par Monsieur D. [le directeur] et nous en avons eu pour la journée.— Je comprends. Ce n’est pas grave, mais j’aurai besoin de quelques explications et d’éléments complémentaires sur plusieurs écritures.— Entendu. Voyons ça, me dit-elle sur un ton très professionnel. Elle fit le tour des bureaux et vint se placer derrière moi, à ma gauche. J’ouvris le dossier contenant mes notes et lui détaillai les points interrogatifs. Elle s’inclina pour les observer. Durant ma logorrhée, je restai ...
... hypocritement droit dans ma chaise, les yeux dans mes papiers, le doigt pointant tour à tour de tristes et interminables lignes, alors que je n’avais qu’une envie : me retourner pour la regarder et la contempler. Je m’imaginais la posture de la belle, présentant une croupe voluptueuse vers l’arrière, poussée par des hanches et des fesses arrondissant la ligne de sa jupe… et cela commençait déjà à m’exciter beaucoup. Mes pensées érotiques jouissaient néanmoins d’un concret et enivrant parfum. L’épisode passé, elle prit place à son bureau, face à moi. Durant toute la matinée, lorsque je sortais de quelques moments de concentration dans mon travail, je promenais furtivement mon regard sur sa poitrine, tel un voyeur juvénile. J’appréciais leur beau volume exacerbé par un chemisier trop sérieusement boutonné, avec la prudence de ne pas croiser son regard. À l’affût de ses moindres attitudes, je relevais immédiatement la tête afin de mater ses formes qui me harcelaient. Ainsi, toutes les fois où elle dut se lever pour sortir du bureau ou bien pour s’affairer dans une armoire, et que donc elle me tournait le dos, je me régalais les yeux le plus longtemps possible. Contrairement à ses seins, je me rendis compte que ses fesses n’étaient pas exagérément grosses ; en revanche, elles souffraient d’une jupe apparemment trop étroite. Et cela la rendait tellement féminine ! J’aimais observer le tiraillement du tissu, dont chaque fibre tentait de contenir la chair. L’autre événement marquant dans mon ...