1. La délivrance


    Datte: 23/09/2017, Catégories: h, fh, fhh, couple, extracon, cocus, copains, nympho, grossexe, piscine, boitenuit, danser, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, couple+h, cocucont,

    Comme toutes les années depuis maintenant cinq ans, moi et quelques collègues dînons ensemble dans une auberge de la région. Cela pour fêter dignement notre amitié. Nous sommes encore six ce soir. Six comme à notre premier rendez-vous. Il y a Mauricette, la quarantaine passée, brune avec des mèches aux cheveux courts, vêtue d’un pull et d’une mini, avec des bottes. Yves, un peu plus âgé aux cheveux gris, bien habillé, corpulent, le regard vif, des poches sous les yeux. Isabelle, la trentaine, grande et mince, les cheveux courts encadrant un visage très pâle, où la bouche rouge éclate comme un fruit, une silhouette élancée, soulignée par un haut de soie blanche, ras du cou, et un pantalon de cuir noir très ajusté qui met en valeur d’interminables jambes. Avec ses escarpins, elle mesure un mètre soixante-quinze. Véronique, la plus jeune du groupe, resplendissante dans un tailleur strict de couleur claire sous lequel elle ne porte pas grand-chose. Pour finir Thierry, un visage brutal, le moins drôle de tous, vêtu en jean et chemise. Et, bien sûr, ma personne. L’endroit est très agréable, les tables suffisamment éloignées les unes des autres pour avoir un peu d’intimité. L’ambiance est déjà très joyeuse entre nos trois couples. La soirée se réchauffe. Un je ne sais quoi nous a incités à venir parler sexe, l’alcool aidant sans doute. Chacun se sentant suffisamment libéré de tout préjugé, pour vivre une aventure immorale gardée pour la plupart secrète tout au fond de sa mémoire. ...
    ... Mais ce soir nous avons décidé de briser la barrière du silence, et de partager avec les autres convives, une confession. Mais pas n’importe laquelle. Celle qui fait grimper au plafond. La plus chaude possible. Je prends tout de suite la parole, racontant le plus naturellement possible mon histoire. Ma première femme était une femme brune. Ses yeux noirs étaient en amande, une belle poitrine qui se tenait bien droite. Elle pouvait, sans doute, se passer de soutien-gorge, mais elle était bien trop pudique pour cela. Ses petites fesses menues formaient un adorable derrière rebondi. Sa vulve bombée était gracieusement fournie de poils crépus. Après un moment de déprime suite à une rupture. Alexandre, un ami, était venu partager une soirée, en notre compagnie, dans un restaurant. Le repas fut très copieux. L’alcool aidant, Isabelle, mon épouse devenait moins timide. Elle ne prenait même pas le soin de remonter la bretelle de sa longue robe noire, qui avait glissé sur son bras. Alexandre, l’ami qui était assis en face, en était ravi. Ses grands yeux plongeaient directement dans l’échancrure du corsage de mon épouse. Je n’osais rien dire. Le café but, Isabelle, se disant en forme comme jamais, me demanda de les conduire en boîte. Je fus surpris de sa demande, elle qui n’aimait pas ces endroits. Je soupçonnais l’alcool d’y être pour quelque chose. Comme si je voulais me rassurer… mais de quoi ? J’avais un drôle de pressentiment. Arrivée dans la seule discothèque branchée des environs. ...
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