La délivrance
Datte: 23/09/2017,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
couple,
extracon,
cocus,
copains,
nympho,
grossexe,
piscine,
boitenuit,
danser,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple+h,
cocucont,
... Raconte-moi, ça m’excite !— Non… non ! Je te jure. Nous n’avons rien fait. Il m’a suivie, c’est tout !— Mais tu aurais bien voulu qu’il te baise ?— Non ! Oui ! Oh oui ! J’aurais voulu sa queue dans ma chatte ! Dans ma bouche ! Oh, je… je jouis !— Moi aussi, salope ! Tiens, prends tout ! Tu m’as trop fait bander, ce soir. Je ne peux plus me retenir ! Nous nous retrouvâmes, le corps inondé de sueur, honteux à présent de ce que nous avions dit. Je me tournai sur le côté pour m’endormir. Un malaise oppressant m’avait gagné une fois l’excitation retombée. Dans la nuit, je me réveillai en sursaut. Quelque chose n’allait pas. Je tâtai les draps. Isabelle n’était plus dans le lit, à mes côtés. J’allumai la lumière, j’allai voir dans la salle de bains, puis aux toilettes, le salon. Personne, tout était calme. Je ne comprenais pas. C’est en revenant dans ma chambre que j’aperçus une raie de lumière, sous la porte de la chambre d’ami. Là justement où était installé Alexandre. Je m’avançai lentement. Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine. La sensation d’angoisse était revenue, plus forte que jamais. Je collai mon oreille contre le battant et perçus des soupirs étouffés, des gémissements. II n’y avait aucun autre bruit à cette heure avancée de la nuit. Je me penchai pour coller mon œil dans la fente de la serrure. Ce que je vis me glaça. Isabelle était à genoux devant la glace de l’armoire. Ses lèvres étaient affreusement déformées par le gland enflé et rouge de notre ami. Ils ...
... étaient nus tous les deux. Elle suçait le long membre en hochant la tête, comme je l’avais imaginé, quelques heures plus tôt. Il gonflait les joues de mon épouse. Pendant qu’elle aspirait la hampe, Isabelle palpait en même temps les testicules d’Alexandre. Deux grosses couilles lisses qui ballotaient dans ses paumes. Ses fesses se crispaient à chaque fois qu’il lui enfonçait sa queue un peu plus loin dans la bouche. Ma femme, à moitié étouffée, continuait sans relâche à pomper, comme si sa vie en dépendait. Je n’en revenais pas. À moi, elle donnait rarement sa bouche, sauf pour me faire bander, quand elle avait vraiment envie de faire l’amour, et toujours dans l’obscurité. Là, elle se comportait sans aucune pudeur. Elle était prête à tout pour se faire bourrer par cette grosse bite. Soudain, je réalisai que je n’avais aucune envie d’intervenir. Pire, je bandais terriblement. Mon sexe n’était pas celui d’Alexandre, mais dressé entre les pans de ma robe de chambre, il semblait avoir grandi. Sans plus attendre, je me branlai comme un fou, pendant que ma femme se mettait à quatre pattes. Alexandre s’empressa de l’imiter, se plaçant derrière elle. D’un seul coup, il lui planta sa queue dans le vagin. Sous la brutale poussée, mon épouse, si menue, tomba le nez en avant. Le salaud n’en fit même pas cas. II en profita au contraire pour lui défoncer carrément la chatte. Isabelle ne protesta pas. Elle s’offrait même d’avantage, tendant ses fesses, le cul en l’air. Il la limait de plus ...