La délivrance
Datte: 23/09/2017,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
couple,
extracon,
cocus,
copains,
nympho,
grossexe,
piscine,
boitenuit,
danser,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple+h,
cocucont,
... La piste était noire de monde. Isabelle voulut m’entraîner sur la piste, mais je refusai. Je ne savais pas danser, ce qui ne l’a pas empêchée d’y aller, en entraînant Alexandre. Assis sur une banquette, je sirotais un whisky-coca. Dans la foule qui s’agitait sur la piste, mon épouse était la seule à porter un vêtement sombre. Les jeunes filles portaient des tenues claires. Les corps se trémoussaient, dégoulinants de sueur. Sur les tissus, commençaient à se dessiner de larges auréoles de transpiration. Une odeur acide mêlée de tabac froid avait envahi l’atmosphère. Les projecteurs et les lasers donnaient une image psychédélique de la piste. Soudain, les spots s’éteignirent, au profit d’une lumière bleutée qui ne reflétait que les formes claires. Ma femme apparut dans toute sa splendeur. Une série de slows commençait. Je me sentais très seul dans mon coin. Isabelle semblait m’avoir oublié. Elle dansait dans les bras de notre ami. Le temps de commander un autre verre et je me retournai en direction de la piste. Tout en sirotant mon alcool, je n’avais d’yeux que pour mon épouse qui se prêtait de plus en plus volontiers aux mouvements de son partenaire. Suspendue à son cou, elle dansait lascivement. Son ventre était plaqué contre celui d’Alexandre. Il la tenait par la taille. Ses grands bras l’enlaçaient. Je sentis le sang me monter au visage, quand ses mains se glissèrent sur les fesses de mon épouse. Il fit disparaitre entièrement le petit cul de ma femme dans ses larges ...
... paumes. Je reprenai espoir quand elle les repoussa avec un regard chargé de reproches. Une femme vint alors s’asseoir près de moi, et se mit à me causer. J’avais du mal à me concentrer sur ce qu’elle me disait. Elle se fâcha aussitôt de mon impolitesse. Elle aussi avait pas mal bu. Je dus faire semblant de m’intéresser à ce qu’elle me disait pour la calmer. Discrètement, je regardais la piste du coin de l’œil. La lumière rendait Isabelle encore plus blanche, mais ses joues rougissaient. Il me semblait que sa robe avait disparu, et que des ombres dansaient lentement autour d’elle. Subitement, les formes qui l’entouraient me la dissimulèrent. Je la cherchais éperdument, mais en vain. Je remarquai avec effroi qu’Alexandre, lui aussi avait disparu. Et cette femme qui continuait à me débiter ses conneries. Une angoisse terrible me serrait la poitrine. Je me levai d’un bond et me dirigeai vers les toilettes. J’ouvris la porte des sanitaires sans réfléchir d’avantage. Des jeunes femmes sursautaient en me voyant, et cessaient de se remaquiller pour me jeter carrément dehors en m’insultant. Je me rendis alors dans les toilettes des hommes. Des images horribles défilaient dans ma tête. Je voyais ma petite biche à genoux, en train de sucer la queue d’Alexandre. Il la tenait par la nuque, il se branlait carrément dans sa bouche. Mon épouse ne se rebellait pas. Au contraire, elle ouvrait grand la bouche pour que l’autre salaud s’enfonce profondément dans sa gorge. Je devais ressembler à un fou, ...