La délivrance
Datte: 23/09/2017,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
couple,
extracon,
cocus,
copains,
nympho,
grossexe,
piscine,
boitenuit,
danser,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple+h,
cocucont,
... en plus vite. Elle était aux anges, ses joues toutes rouges de plaisir. Un bonheur total se reflétait sur son visage. Elle jouissait comme je ne l’avais jamais vue. Cette vision me fit décharger contre la porte. Dès que l’excitation s’estompa, je m’enfuis comme un voleur. Ce n’est qu’au petit matin que j’entendis ma femme rentrer. Je n’avais pas fermé l’œil de la nuit, et elle non plus sans doute. Dès qu’elle se coucha près de moi, je la serrai dans mes bras, m’allongeant sur elle. Aussitôt, je me remis à bander, sans pouvoir m’en empêcher. Sa chatte était encore pleine de foutre. J’y enfonçai ma queue et je m’aperçus que je nageais carrément dedans. Isabelle se laissait manipuler comme une poupée. J’osai profiter de sa docilité. Ma main glissa sous ses fesses, l’autre s’empara d’un de ses nichons, le pressant comme si j’avais voulu le remodeler. Pendant ce temps, mon index s’insinuait dans son cul. J’y trouvai, avec stupeur et émoi, autant de sperme que dans son vagin. Alors, je retirai ma bite de son con pour la placer plus bas, entre ses fesses. Il ne me fallut qu’un seul coup de reins, pour m’enfoncer dans son cul. Mon épouse devait se sentir indigne et sale, pour se laisser malmener comme une pute. De façon obscène, elle offrit son ventre en frétillant de la croupe sous mes coups de queue. — Vas-y, encule-moi ! Je ne veux jouir que comme ça, maintenant ! dit-elle dans un murmure. Ce furent ses seules paroles. Elle se mit à haleter et la jouissance nous emporta tous les ...
... deux en même temps. Quelques heures plus tard, une sourde excitation recommençait à me gagner, comme la première fois. Je dus me rendre à l’évidence, Isabelle avec d’autres hommes m’excitait. Il avait vraiment fallu qu’un mâle vienne faire son entrée dans notre couple pour le découvrir. Mon sexe était dressé, jamais je n’avais bandé aussi fermement. En fin de journée, nous nous retrouvâmes tous les trois, autour de notre piscine. Isabelle me prit la main et m’entraîna dans l’eau. Au bout de quelques brasses, ma femme et moi revînmes nous étendre près d’Alexandre, sur les bains de soleil. Isabelle se prélassait en s’étirant. Je la regardais faire, amusé. C’est alors que l’ami se leva et plongea à son tour dans la piscine. Quelques allers et retours et le voilà qui remontait par l’escalier. Mais surprise, son maillot lourdement trempé avait glissé au plus bas sur son anatomie très en forme. Isabelle l’observait discrètement. Je recommençais à être excité, et elle aussi, car une auréole était en train de se former sur le devant de son maillot. J’étais sûr qu’elle mouillait autant que je bandais, sous ma serviette, que j’avais préalablement glissée au centre de mon corps, cachant mon excitation. Je m’approchai lentement pour lui parler dans le creux de l’oreille, pendant qu’Alexandre s’allongeait sur la margelle de la piscine, après s’être rajusté. — T’as vu sa queue, comme elle est grosse ? Je la sentis frissonner tout contre moi. Elle tremblait même un peu. — Pourquoi tu me dis ...