Nathalie
Datte: 08/03/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
intermast,
Oral
... posé des questions, en me disant que Nathalie est une femme mariée, mère de famille de surcroît. Je pensais qu’elle avait des soucis financiers et que le fait d’en parler avec elle au sein de son foyer pouvait l’aider dans sa démarche. Arrivé à l’heure prévue, je me suis retrouvé assis dans le canapé de son salon. Légèrement surpris de découvrir une maison calme, sans enfants ni mari. Nous avons pris un verre ensemble, fumé quelques cigarettes. Je voyais mon assistante nerveuse et ne sachant pas comment aborder le sujet. Voyant sa gène empirer à chaque minute je lui dis en la regardant dans les yeux qu’elle pouvait se livrer à moi si elle souhaitait me parler de sujets personnels concernant son ménage ou sa famille. Elle a saisi la perche que je lui tendais pour m’avouer qu’elle ne cessait de penser à moi depuis la dernière soirée, en m’avouant que son mari était en déplacement pour la semaine, que ses enfants étaient chez leurs grands-parents et qu’elle avait envie de ma présence. Elle m’a également avoué que sa relation professionnelle avec moi lui apportait beaucoup de plaisirs, qu’elle appréciait mon management, que j’étais quelqu’un de bien. Bref elle s’est livrée à moi. Je n’ai rien dit de longues minutes, je l’ai laissée parler. Ensuite Nathalie m’a pris la main et m’avoua qu’elle avait par-dessus tout aimé notre slow, qu’elle ressentait une attirance pour moi. Jamais aucune femme, encore moins une collaboratrice, ne m’avait à ce point troublé. Je me suis rapproché ...
... d’elle et, doucement, je l’ai prise dans mes bras… D’abord timides, nos bouches se trouvèrent vite soudées. Nathalie me serra fort dans ses petits bras. De baisers chastes au début, nous avons laissé nos langues faire connaissance. Un baiser tendre et passionné à la fois nous entraîna de longues minutes vers un continent d’irréalité. Je savourais l’instant présent car nous ne prononcions aucune parole, notre respiration rythmait simplement cet échange sensuel. Je sentais mon assistante s’abandonner progressivement. Elle portait un jean, ainsi qu’un polo crème, rien de sexy à proprement parler. Je laissais mes lèvres parcourir son cou, ses oreilles, ses cheveux bruns et soyeux. Elle se laissait faire en gémissant d’aise. Toujours sur le canapé, Nathalie jeta par-dessus ses épaules son polo et me laissa admirer sa petite poitrine que je devinai à travers son soutien-gorge à carreaux rouges et blancs. Elle ôta son jean et je pus admirer également ses cuisses fuselées, son petit ventre rond. Elle se lova contre moi. Je me penchai sur elle et commençai à embrasser la douce peau de son ventre. Ma langue partit à la découverte de ce corps trop souvent délaissé. Nathalie, ensuite, écarta les cuisses, mais elle ne souhaita pas que j’ôte immédiatement sa culotte, par pudeur certainement. Elle continua à me caresser les cheveux pendant que mes lèvres embrassaient son mont de Vénus à travers le fin coton de sa culotte. Mes mains ne restaient pas inactives. Je caressais la douce peau de ses ...