Nathalie
Datte: 08/03/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
intermast,
Oral
... cuisses, mes doigts couraient sur son ventre. Ma bouche remonta vers la sienne et nous échangeâmes un long et passionné baiser. Après cette mise en bouche - c’est le cas de le dire - mon excitation était à son comble, je me sentais à l’étroit dans mon pantalon. Mon assistante remarqua mon état et elle caressa, de ses petites mains de porcelaine, ma hampe, à travers le tissu de mon jean. La nuit était tombée depuis belle lurette. Nous continuâmes ce flirt poussé pendant encore de longues minutes. Nathalie m’avoua peu après qu’elle commençait à être gagnée par les remords, n’ayant encore jamais commis le péché d’adultère. De ce fait, nous stoppâmes nos ébats pour deviser de ce sujet. Je lui fis comprendre que je respectais et comprenais ses interrogations, cela dura jusqu’au milieu de la nuit. Elle me redit à plusieurs reprises qu’elle ressentait une profonde attirance pour moi, j’étais à ses yeux un galant homme respectueux de la gent féminine. A force de lui prouver mes nobles intentions, Nathalie sans que je m’y attende me prit la main dans la sienne et me guida vers sa chambre et le lit conjugal. Soudain elle se retourna vers moi et, de ses deux mains, elle s’agrippa à mon cou et me glissa dans le creux de l’oreille : — Viens sur ma couche et caresse-moi toute la nuit… A cet instant j’étais heureux, heureux de pouvoir la rendre heureuse. Mais elle me précisa qu’elle ne pourrait pas faire l’amour, par égard pour son mari. Nous nous déshabillâmes chacun de notre coté. Nus ...
... tous les deux, allongés sur les draps nous laissâmes nos regards découvrir nos corps. Ensuite je pris l’initiative de prendre au creux de mes mains ses petits seins ronds en forme de pommes, que je caressai et embrassai. Nathalie jeta sa tête en arrière et s’abandonna pour la nuit à mes mains et à ma bouche. Adorant les caresses buccales, je me retrouvai entre ses cuisses et titillai avec ma langue son doux sexe d’amour. Les parfums marins excitèrent mes sens, ma langue goûta au nectar et s’enfonça progressivement en elle. Nathalie caressa ma chevelure tout le temps que je lui prodiguais cette caresse. Elle jouit plusieurs fois sous ma bouche. Je caressais également son bourgeon tout en insérant un, puis deux doigts en elle, doigts qui allaient et venaient comme un doux piston. Je ne tenais nullement compte de moi, mon érection, certes, était visible, mais je dis à Nathalie que cette nuit était "sa nuit "avant toute chose. Mon plaisir attendrait, mais le bonheur que je donnais à ce petit bout de femme suffisait largement à ma félicité. Au petit matin cependant ma petite poupée me demanda de la couvrir et de venir sur elle mais sans la pénétrer. Je m’exécutai de bonne grâce. Elle prit ma verge entre ses mains et me dit tendrement : — Va et viens entre mes doigts. Quel délice, les mains de Nathalie ! Je me regardais coulisser délicieusement, ses doigts fins et blancs aux ongles longs enserraient ma hampe gonflée de sève pour elle. Nathalie prit mes bourses dans la paume de ses ...