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La Muse (28)
Datte: 12/03/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... une partie des femmes et des hommes étaient entièrement nus et se faisaient peindre dans la rue, puis déambulent toute la journée, le soir et la nuit. C’était aussi la fête du sexe où tout était permis dans les rues transformées en un immense terrain de jeu. Alors que je déambulais seule, en minirobe transparente sans rien dessous, une jeune femme m’aborda et me demanda dans son anglais à l’accent de Ducky Doc : — Then I make a picture ? — Yes, with pleasure ! lui répondis-je. Dans ce genre de fête, tout le monde peut demander de se faire prendre en photo avec qui il veut, de préférence une femme nue ou grimée comme moi. À mon accent, elle comprit tout de suite d’où je venais. — Yes, French ? — Yes. — You’re really pretty ! Évidemment que je suis belle ! Elle aussi : grande, fine, blonde, elle portait une minirobe blanche en dentelle qui montrait parfaitement qu’elle n’avait rien dessous. Pendant la photo, elle leva sa robe, dévoilant ainsi un pubis vierge de tout poil, puis elle ouvrit le haut de sa robe et montra ses seins en se les caressant ; tout le monde autour en profitait pour nous shooter. Elle se tourna pour montrer ses fesses puis posa une main sur mon sein, joua avec le téton, l’embrassa et me présenta ses lèvres. Excitée par ce contact aussi soudain qu’imprévu, je lui tendis mes lèvres. Elle se lança dans un roulage de pelle surprenant ; j’en profitai pour lever sa robe et lui toucher les fesses. Elle se mit face à moi, prit ma tête entre ses mains et amplifia ...
... son baiser, plaquée à moi. D’une main, je levai sa robe et de l’autre je lui administrai quelques claques amicales sur son petit cul. — Well, very good, hum ! Want a drink ? Elle m’entraîna dans un bar et commanda « two je-ne-sais-quoi ». Nous étions assises sur des tabourets très hauts. Dans la salle, il y avait pas mal de monde ; juste à côté de nous, un couple dont l’homme tenait sa belle, seins nus, contre lui. Mon accompagnatrice – qui s’appelait Betty – n’hésita pas un instant et roula une galoche à la jeune femme qui ne se défendit pas et dont le compagnon sembla s’en amuser. Quand elle eut fini, elle me montra du doigt et cria en se ruant sur moi : — French ! French ! Pour le coup j’étais repérée, et tous les regards se tournèrent vers moi. Cette lesbienne voulait jouer. J’acceptai sa nouvelle galoche et en profitai pour aller rendre visite à son « américaine fente » totalement identique à la mienne qu’elle investissait de ses doigts ; la petite était chaude et sans complexes, et aussi lesbienne. Je ne pense pas avoir roulé autant de galoches que ce soir-là : elle n’en finissait plus de me lécher le museau. Quand je lui plantai deux doigts dans la minette, elle s’arrêta net, toujours sur son tabouret haut, et adossée au bar elle écarta les jambes. Je coulai au sol, à genoux, et embouchai sa minette baveuse de désir, avec deux doigts dans son vagin, mes lèvres et mes dents pour exciter son clito. Mon canard cria des « Oh, my God ! Oh, my God ! », et son « God » venait de ...