1. Transparences


    Datte: 13/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme collants, fh, Collègues / Travail pied,

    ... l’affirmative aux sous-entendus de son invitation à déjeuner. Savourant sa réussite et sentant plus que jamais ce qui les attendait sans en voir le dessein, elle s’assit à son bureau et les heures qui suivirent furent une longue série de regards plus fiévreux encore, car Mathilde, pour finir d’attiser le désir de Louis, avait déboutonné le bas de sa robe et croisé haut ses jambes pour qu’il pût l’admirer davantage, situation qui le rendit plus impatient que jamais. Après cette matinée, studieuse malgré tout, les dés en étant jetés, Mathilde et Louis sortirent déjeuner. Il avait choisi un endroit à l’écart, dans une impasse où la lumière de midi faisait briller un pavé luisant d’une petite averse maintenant terminée. Seuls les pas de Mathilde résonnaient, scandant pour Louis le tempo d’une danse féminine. Pour ne pas glisser, elle prit spontanément le bras de Louis qui la guida jusqu’à un petit bistro. Des tables rondes habillées de nappes longues les attendaient. L’unique serveuse, les ayant installés près d’une fenêtre donnant sur la cour intérieure, revint peu après prendre la commande. Louis ne put s’empêcher d’admirer sa démarche lorsqu’elle repartit vers le bar pour commander deux apéritifs. Mathilde et Louis n’avaient jamais vraiment parlé ensemble excepté pour les échanges factuels que leur métier imposait. L’apéritif les avait détendus. Ils entamèrent une conversation qui n’avait enfin aucun rapport avec le travail. Ils se racontaient leur enfance, leur famille, les ...
    ... loisirs qu’ils aimaient, se découvrant des points communs, d’autres moins, heureux d’une complicité qu’ils n’avaient jamais connue en deux ans. Mangeant avec appétit mais lentement, savourant le moment présent, ils continuaient à parler et rien ne les arrêtait ; mais chacun sentait qu’ils tournaient autour du pot, cherchant l’occasion d’en venir à un sujet plus intime. La conversation les ayant ramenés insensiblement à l’évocation de leur lieu de travail, Mathilde lança cette remarque à Louis : — Le nouveau mobilier semble te convenir. (Avec un sourire taquin).— Le design est beaucoup plus sympa, tu as bien choisi !— Oui je crois que j’ai bien choisi, c’est plus moderne, mieux que ces vieux bahuts… mais pas seulement, il me semble que tu profites de la vue aussi, je me trompe ? Louis, saisissant la perche tendue : — Je peux te dire ce que je trouve de si troublant avec ces nouveaux bureaux ?— Troublant ? Waou… tu m’intrigues. Elle le regarde droit dans les yeux — C’est ta façon de bouger ta chaussure sur ton pied… je trouve ça charmant.— C’est vrai ? C’est nerveux, mais j’aime bien cette petite sensation de mouvement…— Et puis… tu portes souvent des bas ou des collants… ça j’adore. Avec un air faussement détendu, mais en se frottant la tête, tic incontrôlé des moments de gêne. Mathilde avec un petit rire : — Je l’ai bien remarqué, et je trouve même cela très agréable… j’aime que tu me regardes… tu ne t’en es pas rendu compte ?— Un peu, j’ai bien vu l’autre fois que tu m’avais ...
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