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Homo sapiens Pornoensis (1)
Datte: 14/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe
C’était ma troisième expédition en Amazonie mais cette fois, j’avais décidé d’y aller seule avec mon guide Teuboku. Il était métis et devait avoir à peu près 28 ans comme moi. Nos précédentes expéditions nous avaient permis de nous connaître et de nous faire confiance. C’est ainsi qu’il m’avait proposé d’aller au pays des Boukipus. Les Boukipus habitent très loin au cœur de la forêt. Leur peuple compte une dizaine de villages. Ils sont pacifiques et ont déjà été étudiés par des ethnologues mais assez peu car ils n’aiment guère les blancs. Du reste, ce n’est pas cette ethnie qui m’intéressait. Teuboku avait recueilli les confidences d’une villageoise qui lui disait que les hommes de la "tribu du grand méandre", la plus éloignée, avaient des contacts avec les "grands hommes noirs de la forêt" qui étaient bien plus grands encore que les blancs. Cela m’avait intriguée comme on peut se passionner pour les récits de cryptozoologie qui parlent du monstre du Loch Ness ou, pour rester dans les hominidés, du Yéti ou du bigfoot. Mais, finalement, j’avais cru au récit et m’était décidée à y aller, sous prétexte d’étudier les Boukipus. S’il y avait une nouvelle ethnie inconnue, la gloire de la découverte m’en reviendrait et ma carrière ferait un grand bond. Je dois bien avouer que l’intérêt personnel me motivait autant que la curiosité. Mais approcher les Boukipus ne serait pas facile. Le voyage serait long, sans doute plusieurs mois aller-retour et étude comprise, et il n’était même ...
... pas sûr que les Boukipus voulussent m’accueillir parmi eux. Les deux premières semaines de remontée du fleuve, nous avions été escortés par les forces brésiliennes qui ne donnaient pas cher de notre peau si nous tombions sur des mafieux. Au delà d’un certain point, il n’y avait plus de risque. Ils ne s’aventuraient jamais aussi loin. Nous mîmes encore huit jours a atteindre le premier village Boukipu. Peu avant d’y arriver, Teuboku se mit entièrement nu. - Qu’est-ce que tu fait Teuboku ? - Les Boukipus vivent entièrement nus. Ils ont justes des sortes de sandales et, parfois, ils portent un léger pagne, mais le plus souvent, juste un étui pénien. Ils se méfient des vêtements. Pour gagner leur confiance, il faut leur ressembler. D’ailleurs tu devrais en faire autant. J’hésitais à me mettre à poil mais je passai juste une culotte et une soutien-gorge en coton que je m’étais confectionnés moi-même pour mes voyages en pays chauds et qui avaient plus l’air de fringues légères que de sous-vêtements. J’avais déjà pu admirer la plastique de Teuboku puisqu’il était quasiment toujours en bermuda et torse nu. Mais je ne l’avais jamais vu dénudé. Petit comme la plupart des hommes de cette partie de la forêt qui ne dépassent que rarement 1,65 m ou 1,70m, et cela en dépit de son métissage, Teuboku était svelte et très musclé. Je pus admirer ses petites fesses, fermes, rebondies, bien dessinées et son sexe qui me parut assez petit mais avec des couilles bien grosses et bien rondes, dans une ...