1. Homo sapiens Pornoensis (1)


    Datte: 14/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... me vaut un grand succès auprès de la gent masculine, où que j’aille, même dans les maisons de retraite...). Les hommes étaient demeurés en retrait, je les devinais sur le pas de leur maison, épiant avidement. Seul Teuboku était resté avec moi. Je vis qu’il bandait et, s’il avait pu rougir, je crois qu’il l’aurait fait. D’ailleurs, les rires de certaines femmes montrèrent qu’elles avaient repéré son trouble et qu’elles s’en amusaient. On me proposait un accord. Si j’acceptais de faire avec les hommes de la tribu ce que les "grands hommes de la forêt" faisaient avec leurs filles, on pourrait conclure un marché Mais que faisaient-ils ces "grands hommes avec les filles du clan? C’était bien simple, ils s’accouplaient et je devais en faire autant avec chaque chef de hutte. Ainsi je pourrais rester et on me montrerait les "grands hommes noirs de la forêt". Je demandai réflexion. Teuboku me conseilla d’accepter rapidement avant que les femmes ne fassent trop pression, car beaucoup avaient compris l’énorme attrait que j’exerçais sur les mâles du clan et redoutaient une concurrence farouche bien que la communauté fut habituée à une forme de polygamie assez avancée. Je donnai donc mon accord. Alors on me fit entrer dans une case où l’on recevait les hôtes. Je la partageai avec Teuboku. Nous devions attendre le soir pour l’accouplement. ghkgiioe Il me fallait prendre du repos. Le village comptait 18 huttes, donc 18 chefs. Je ne m’imaginais pas capable de faire l’amour avec autant ...
    ... d’hommes en une soirée. Je demandai donc à Teuboku comment cela allait se passer. Il n’en savait rien. Il en profita pour s’excuser d’avoir bandé (même s’il employa des circonlocutions pour le dire) en me voyant. Je lui dis que j’avais trouvé cela plutôt flatteur et qu’il ne devait pas se tracasser. Quand la nuit fut sombre, tous les hommes et uniquement les hommes, se tinrent sur la place du village où brûlait un grand feu malgré la chaleur éprouvante. Il était plus destiné à éclairer qu’à chauffer. On avait préparé une couche où devaient avoir lieu les saillies. J’étais dans la hutte entièrement nue et parée des fleurs les plus odorantes et des plumes les plus magnifiques que de vielles femmes avaient arrangées sur moi en prenant un soin particulier à mettre en valeur mes seins et mon sexe. Je sortis au milieu d’une haie d’honneur très serrée de mâles, queues dressés, si proches les uns des autres que pour passer entre les deux haies parallèles, je devais souvent frôler des bites toutes dures dont je sentais le contact à hauteur de mes cuisses ou de mes fesses. Je m’étendis sur un matelas végétal très doux, frémissante, impatiente après plusieurs mois d’abstinence, mais aussi de peur. Comment allaient-ils me traiter ? Teuboku était près de moi pour assurer la traduction car même si, depuis notre départ, il faisait les plus grands efforts pour m’initier à leur dialecte, je progressai lentement. J’écartais mes jambes du plus que je pus, c’est à dire assez grand grâce à une ...