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Homo sapiens Pornoensis (1)
Datte: 14/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... pilosité très serrée et prononcée. Il y avait longtemps que je n’avais pas tiré un coup et j’avoue que cet homme bien fait, à la peau cuivrée, au regard sombre et aux dents blanches éveilla en moi quelques fantasmes. Arrivés au premier village, nous fûmes plutôt bien accueillis mais je n’eus pas le droit de descendre du bateau ou je dus passer la nuit. Dans le vacarme de la nuit amazonienne où criaient des oiseaux de toutes sortes, je perçus aussi des frôlements autour de mon embarcation. Je devinais des ombres, des mouvements. En allumant ma lampe-torche, je pus apercevoir une flopée de jeunes guerriers, la queue bien en l’air qui rôdaient autour de moi avec des pensées manifestement coupables. Teuboku n’apprit rien sur les "grands hommes noirs de la forêt" et pas plus dans le deuxième village, ni dans les suivants, sauf à l’avant-dernier où une fille disait que dans l’ultime village d’où elle venait, plusieurs femmes avaient été chez eux pour leur servir de compagnes. A chaque étape, et même en plein jour, de jeunes gens approchaient, tout en restant à distance respectable et, sans pudeur aucune exhibaient leurs sexes en érection devant moi. Teuboku m’expliqua que les hommes de la tribu, quand ils désirent une femme, le lui font comprendre de cette manière fort peu équivoque, de sorte que les femmes peuvent juger sur pièce de la virilité du prétendant et de la sincérité de ses impressions. Il me dit que j’impressionnais grandement les indigènes à cause de ma haute taille ...
... (je mesure, 1,80 m) et de ma peau blanche et que n’étant pas entièrement nue, on se demandait si j’étais vraiment faite comme une femme d’ici, ce qui créait la méfiance qui les maintenait loin de moi malgré le désir visible que je leur inspirais. Peut être faudrait-il, parvenue au dernier village, que j’enlève tous mes vêtements. Deux jours après, nous étions dans le "village du grand méandre". Il occupait en effet une très vaste boucle du fleuve dont le reste des berges était dominées par un plateau surélevé d’une bonne centaine de mètres qui tombait à pic dans les eaux boueuses et qui fermait tout l’espace au sud par une falaise qui paraissait, de loin, complètement infranchissable. Il fallu parlementer deux jours entiers pour que je puisse rester. Au départ, malgré les cadeaux que j’avais apportés, il n’en était pas question. Teuboku me fit comprendre qu’on n’avait presque jamais vu de blancs ici et surtout pas de femme. Si je consentais à me découvrir totalement, sans doute intriguerai-je les hommes et alors.... tout deviendrait possible. Mais que savait-il des "grands hommes noirs de la forêt". Il y avait quelque chose mais ils n’étaient pas en confiance pour parler. Quand je fus entièrement nue, je pus descendre de la pirogue et entrer dans la petite agglomération. Les femmes d’abord s’approchèrent de moi pour constater de visu que j’étais bien l’une d’entre elles, juste plus grande, blanche et avec des seins beaucoup plus gros (j’ai en effet une très forte poitrine qui ...