1. Rose of Sharon (1)


    Datte: 24/09/2017, Catégories: Hétéro

    ... m’a permis de demander une bourse pour ce college. Et de te rencontrer. — Tu loges chez ta tante ? knvkiiwt — Pas vraiment, elle habite LA. — Ah ! Tu es Angeleno alors ! — Eh oui. Et tu es végétarienne ? — J’arrive à manger du poisson et quelques crustacés, mais en gros, oui. — Ouf, j’avais peur que tu sois végane ! — Ne me dis pas à quoi tu penses, je le vois dans tes yeux ; ne t’en fais pas, j’accepte volontiers les régimes protéinés. Nous éclatâmes de rire. Même si je rougis en même temps. Toujours la blague éculée, les véganes sucent mais n’avalent pas. Ben moi, j’avale, et j’aime ça. Après les cours, nous sommes partis bras dessus bras dessous sans nous soucier des autres étudiants. Certains de la classe m’avaient paru sympas, mais chaque chose en son temps. Mus par une sorte d’urgence, nous sommes allés dans mon studio. Dès la porte refermée, David m’a collée contre le mur pour me rouler une pelle torride. Il savait faire, sa langue explorait ma bouche jusqu’à ma glotte pendant que ses mains étaient remontées sous ma robe et pétrissaient mes fesses. Mon ventre s’écrasait contre le sien et je peux vous dire que la méga bosse qui déformait son jean devait être douloureuse. Il s’est écarté après plusieurs minutes de ventouse bien torride ; ses yeux étaient complètement noirs et fiévreux, comme ceux d’un junky. — Tu veux pas enlever quelques trucs et me montrer tes trésors ? — C’est un bon plan, je pense. Si tu fais pareil du moins. Nous nous écartâmes de deux bons mètres ...
    ... et je déboutonnai ma robe sans le quitter des yeux. Il vira son tee-shirt, dévoilant un torse de surfeur assorti de tablettes de chocolats miam-miam. Je jetai ma robe vers un fauteuil sans me soucier de la plier et respirai un bon coup. Je ne portais plus qu’un soutien-gorge en dentelle blanc et un tanga assorti. David m’a fait un sourire éblouissant et j’ai dégluti difficilement. Mordant ma lèvre inférieure, je me suis tournée en susurrant, style midinette : — Tu m’aides ? Pour sûr qu’il m’a aidée, j’ai même pu admirer sa technique sans faille pour dégrafer un soutien-gorge. Je frissonnai lorsqu’il passa ses grandes mains sous mes bras pour emprisonner ma poitrine et faire rouler les aréoles gonflées. Je gémis et me cambrai pour coller mes fesses contre sa virilité toujours emprisonnée. Belle bête, assurément ! J’échappai à ses attouchements divins et montrai son jean en faisant la moue. Il ricana : — Tu m’aides ? Je suis bonne fille ; je m’agenouillai illico et défis prestement son ceinturon. Je déboutonnai derechef la braguette et baissai ensemble jean et caleçon, faisant jaillir le diable de sa boîte. — Putain, tu es monté comme un poney ! Ça tombe bien, j’ai fait huit ans d’équitation. Je n’en pouvais plus : j’engloutis sa bite sans attendre. Enfin, j’engloutis ce que je pus, c’était du king-size, madame. Long et bien épais, à distendre mes mâchoires. Je n’ai jamais rechigné devant l’obstacle, alors je m’appliquai et pompai avec force. Puis j’avançai, déglutis et avançai ...