Au service (pas st secret) de Madame (9)
Datte: 16/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Satisfaite, Madame retire mon visage de la vulve de Châu, lèche mon visage humide de mouille et m’embrasse tendrement. Puis, me repoussant entre ses cuisses, Madame me remplace sur le sexe de Châu. Paul se déplace pour me darder mon anus de sa langue. Je l’apprécie de plus en plus et ce n’est pas peu dire. Enfin, Châu, fatiguée par tant d’attentions si agréables, voit ses jambes repliés sur son ventre, écartées et Paul de se glisser sur Châu. La belle Châu ne semble plus éprouvé de crainte. Elle enlace son futur bienfaiteur pendant qu’il glisse son sexe dans celui de Châu. Madame me redresse, me susurre les nouvelles toutes fraiches apprises du ministre. Je ne peux que coucher violemment Madame en les entendant et me donner à elle sans compter. Mon bonheur est total, sublime, merveilleux. Dans mon accès de joie, je plonge ma main toute entière dans le sexe de Madame qui hurle son bonheur au moment précis où Paul s’enfonce entièrement en Châu. Les deux femmes exultent de plaisir en même temps en se tenant par la main. Femme, Châu ne cesse de retenir Paul en elle, ne voulant plus que le subir pour le meilleur et pas le pire. Ce n’est qu’en toute fin de journée que Paul, complètement vidé, s’endort aux côté de Châu. Madame et moi en profitons pour gagner la pièce des plaisirs. Nos orifices intimes remplit par de gros godes, nous nous aimons à en perdre connaissance jusque tard dans la nuit. — Que Madame m’excuse de la réveiller de la sorte, mais il est temps pour Madame et ses ...
... soumis de parer la maison de ses décorations pour la fête de Madame. — Manon ? Quelle heure est-il ? — Plus de midi Madame ! — Mince, ok, rassemble Châu et Paul dans le salon et coule moi un bain vite fait. — Bien Madame encore toutes mes excuses pour le réveil. — Tu as bien fait ma chérie. Dans le salon, devant Madame, Madame nous distribue nos tâches. Même Madame met la main à la pâte. En une après-midi, tout est en place, les meubles sont écartés pour ne laisser de la place qu’é des coussins, des matelas neufs et autres objets de plaisirs. Le donjon est nettoyé par le moins-que-rien sous ma surveillance. Son corps lacérer de coup de fouet, il se montre à la hauteur de sa tâche. Dehors, on délivre la vieille rombière malfaisante pour qu’elle se soulage suspendue à un arbre la tête en bas. Au moment du repas du soir, Madame ne cesse de nous congratuler. Un cri de femme nous surprend, je me porte à la porte d’entrée et découvre une femme sergent de police. Belle dans son nouvel uniforme. Elle se présente comme la nouvelle cheffe du poste de quartier. La reconnaissant, je me colle contre son uniforme et l’embrasse avec amour en la remerciant encore pour le parking. Sa main sur ma croupe me dit qu’elle désirait me voir de toute urgence. Je la fis entrer en lui prenant sa main. Nos doigts croisés, je l’entraine dans la cuisine où Madame l’accueille comme une amante. Voyant nos mains soudées l’une à l’autre, Madame me montre l’étage de ses yeux expressifs. J’invite Jeanne à me ...