Au service (pas st secret) de Madame (9)
Datte: 16/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ses désirs vicieux et pervers. Jeanne n’en croit pas ses yeux. Madame compte chacun des coups que je lui assène. Je me permets d’embrasser son corps, là où la cravache a blessé sa chair. La punition terminée, je couche Madame avec douceur sur mon lit. Je raccompagne Jeanne à la porte. Châu et Paul sont présents quand j’embrasse Jeanne en massant sa très généreuse poitrine. D’une main discrète, j’attire Châu près de moi. À son tour, Châu embrasse amoureusement Jeanne, Paul fait de même. — Jeanne, avant que tu ne partes, si tu as un soumis ou une soumise à ton service. Amène-les avec toi. Je t’attends ma belle policière. Je compte bien à ce que ta matraque se fige dans mon anus entièrement. — Tu es un amour et mon cœur ne s’est pas trompé en vous voyant toutes deux sur ce parking. Pour ta gouverne, j’ai un mâle, il baise à merveille et est endurant comme ce n’est pas permis. Je vous le confierai à vos bons soins. À ce soir ma chérie. Émue par cette femme, je léchais sa main, ce qui pour nous, les soumis, volontaire ou pas, est un signe de soumission pour qui reçoit cet hommage. Après avoir partir Jeanne, je demandais à Châu d’aller s’occuper de Madame et prenais Paul avec moi. — Mon beau Paul, il te plairait de violer cette salope à la porte ? — Je vais lui démolir son cul et après, j’ai envie de te faire l’amour avec un grand A. — Tu sais que tu commences sérieusement à me plaire, toi. — Et toi, tu es la plus merveilleuse négresse que je connaisse. Viens, on va s’en payer ...
... une bonne tranche. — Hé, ne faut pas oublier le moins-que-rien. Il doit recevoir sa part de coup. — Là, je te laisse le soin de le punir. J’adore ta façon de sévir sur cette chose. L’une à côté de l’autre, nous nous occupons de nos larves. Suspendue par sa grosse poitrine pendante, la femme est sodomisée de force par Paul qui se régale. Je lui demandais d’en garder sous le coude, je voulais qu’il me possède devant Madame et devant Châu. De mon côté, le mal moins-que-rien subissait sa flagellation. Mes mains frappaient durement cet homme déshonoré, il avait tout bafoué, il méritait ce qu’il lui arrivait. Les lanières du martinet lacéraient son dos. Puis, je me souvins de ce gode énorme. Solidement fixé à cet arbre, j’allais le prendre. Dans son anus, sans préparation, je le lui enfonçais à coup de genou. Paul, me traitait de salope en jouissant dans le cul de cette ancienne dignitaire. Il se retirait, prenait mon martinet pour fustiger la poitrine de cette femme qui n’avait que pour femme que son physique. Une fois mon gode bien au fond de ce cul, je me posais sur le sol à quatre patte, invitant Paul à me prendre. Il le fit, en douceur. Il ne me baisait pas, il m’Aima. Il mit toute sa passion pendant cet acte d’Amour. Il me fit jouir à trois reprises avant de se répandre en moi de son sperme bien chaud. Nous avons délaissé ces deux moins-que-rien. Madame allait certainement les rendre au ministre pour qu’il les enferme. Nous savions qu’ils termineraient leur vie au cours d’une ...