Au service (pas st secret) de Madame (9)
Datte: 16/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... chasse. Nous n’avions aucune compassion pour eux. Une invitée surprise arrivait. Châu me l’amena sur la terrasse où Madame, Paul et moi prenions un bain de soleil. Jeanne était là, avec son esclave. Un homme fort bien bâti. Madame et moi, nous nous sommes précipitées vers Jeanne. Nous l’avons embrassée. — Mes amies, j’ai congé dès cet instant. Devant la porte, il y a mes bagages. Si Paul, avec l’aide de Roger pouvaient… — Paul s’il te plait mon amour, occupe t’en. — Avec plaisir Madame. — Je vois que le statut de Paul a évolué. — Oui, il est bon amant. Mais ton Roger. — Attendez qu’il revienne Madame, il se fera une joie de vous honorer. — Plus de Madame entre nous, Jeanne. Colette, pour vous. — Alors Colette, permets-moi de baiser tes mains. unzuaaey — Mais pourquoi donc. — Parce que je vais faire la chose la plus stupide de ma vie de femme, de policière. — Mais parlez, ma chère, je vous en prie. — J’ai envie de quitter la police pour me joindre à Manon, Châu et Paul pour vous servir. Voilà ce que j’ai envie de faire. — Mais vous êtes folles, vous y perdriez toutes vos prérogatives. — Et alors, si c’est pour servir la plus belle femme que je connaisse. Manon, Châu, aidez-moi à convaincre Jeanne de ne rien changer, de rester cette belle policière. — Je dois dire à Madame que j’étais au courant de la demande de Jeanne de vous servir. Elle vous aime d’amour comme nous tous. Il faut que Madame sache que nous sommes tous prêt à donner notre vie pour Madame. Même Roger, ...
... l’esclave de Jeanne, y consent. Cependant, comme vous, Madame, je suis contre, son uniforme me manquerait dans nos jeux amoureux — Toi, ma Manon d’amour, pourquoi tu me dis des choses aussi horribles que mourir pour moi ? — Il fallait que Madame le sache. Vous comprendrez, maintenant, pourquoi j’ai toujours refusé de sauter le pas, de devenir l’égal de Madame. Nous vous aimons, nous vous vénérons, c’est plus fort que tout au monde. Ni vous, ni personne ne pourrait nous dissuader de changer. — Merde et merde, je ne sais pas comment prendre tout ça. — Avec dix coups de cravache, Madame, dix coups sur votre merveilleux derrière, et dix autres sur votre sublime poitrine pour avoir exprimé par deux fois des grossièretés. — Je sais, tu as raison ma douce Châu. — Que Madame me pardonne encore, mais si vous étiez une reine, nous serions vos esclaves. Pour nous, vous êtes cette reine. J’ajouterai que déesse serait plus approprié. — Manon, si tu continues à me lancer ce genre de compliment je vais te punir. — Une punition de vos mains n’en serait que plus jouissive, Madame. — Arrêtez avec vos Madame. Et toi, tu ne dis plus rien, la policière ? — C’est que je ne le suis plus depuis hier au soir. — Pardon ? — Oui, j’ai renié ma profession pour venir vous offrir notre entière soumission. Celle de Roger et la mienne vous sont acquises pour toujours. — Me voilà bien, je me retrouve avec cinq personnes. Cinq personnes civilisées, que je voulais libre de penser, d’agir et je me retrouve avec cinq ...