Violaine, souvenirs d'antan
Datte: 16/03/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
couleurs,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
grossexe,
boitenuit,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
nostalgie,
coupfoudr,
amourcach,
... n’avait franchement rien d’excitant. Marc est resté à discuter avec un grand gars baraqué, noir de peau. Ils faisaient tous les deux de grands gestes et me regardaient de temps en temps en parlant. Puis Marc est venu me parler à l’oreille en me montrant le gars du doigt. — Je te présente Rony. Un pote. J’ai tendu ma main à Rony, avec un sourire un peu contraint. — Il va te faire visiter ; ça te dit ?— Et toi, tu ne viens pas ?— Rony te fait visiter ; je vous suivrai de loin.— Je te vois venir. Il va en profiter ?— À toi de voir. Il va essayer, sans doute. Si tu ne veux pas, tu lui dis non. Et ne t’inquiète pas : je ne serai pas très loin. Ça m’a mise en colère. Ce type que je ne connaissais qu’à peine et auquel j’avais fait le plaisir de lui consacrer de mon temps se croyait décidément tout permis. Il pensait qu’il suffisait de demander pour que je me laisse sauter par un parfait inconnu. C’est tout de même assez confiante, puisque je pourrais dire non, que je l’ai suivi. Il m’a prise par la main pour me guider vers le fond de la piste de danse et entrer dans un couloir obscur où l’on entendait un peu moins la musique. Des portes fermées étaient alignées le long de ce couloir, et j’entendais des gémissements de plus en plus forts à mesure que nous avancions. Nous sommes arrivés jusqu’à une pièce dont l’intérieur était visible au travers d’une vitre. Un simple matelas posé au sol. Un type dont je ne voyais pas le visage était allongé au sol. Une femme un peu ronde était sur ...
... lui, plantée sur sa verge. Un autre type, tout maigre et visiblement assez jeune, était à genoux derrière elle. Il la pilonnait avec fougue. Pas besoin d’être grand clerc pour comprendre qu’ils la baisaient tous les deux, l’un enfoui au chaud dans son sexe, l’autre lui dilatant l’anus à grand coups. Rony marchait devant moi. Je l’ai retenu quand il allait avancer. Sans savoir ce qui me fascinait dans ce trio, j’ai souhaité rester quelques instants pour les regarder. Rony a lâché ma main, puis il s’est mis derrière moi, tout contre moi, se frottant à mes fesses. Pendant que je regardais ces deux hommes défoncer cette femme qui hurlait de plaisir, il a remonté ma jupe pour glisser ses grosses mains dans ma culotte. D’abord sur mes fesses, puis entre mes cuisses. Je n’avais pas envie de réfléchir à la folie que j’allais faire, ou plutôt à ce que j’allais le laisser faire. Je pouvais encore dire non, rebrousser chemin, partir. Mais je l’ai laissé faire. Il a extrait son sexe de son pantalon et m’a attrapé une main pour que je le touche. C’était une façon à lui, sans doute, de me prévenir que si l’endroit était particulier, lui aussi avait quelque chose de spécial à m’offrir. Sur le coup, j’ai cru que c’était un objet, et pourtant il était chaud et vivant. Des sexes d’hommes, j’en avais vus quelques-uns ; mais jamais de cette taille. J’étais prise au piège de mon propre désir d’être malmenée, de subir les assauts d’un homme que je n’aurais pas choisi, et qui abuserait de mon corps ...