Violaine, souvenirs d'antan
Datte: 16/03/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
couleurs,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
grossexe,
boitenuit,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
nostalgie,
coupfoudr,
amourcach,
... sans vergogne. La douce peau de son énorme sexe coulissait dans ma main ; je pouvais sentir son plaisir au gonflement des veines sous mes doigts. Rapidement il a tiré ma main pour de la sienne guider son gland entre mes cuisses. D’une main il m’a poussée contre la vitre pendant que de l’autre il pressait sa verge pour écarter mes lèvres. Je l’ai senti entrer, difficilement, son bassin produisant un effort pour forcer le passage. Il me déchirait littéralement, et j’aimais ça. Je n’avais jamais senti mon vagin aussi dilaté, aussi plein. Mon abondante sécrétion est venue lubrifier son engin qui petit à petit a coulissé avec plus de facilité. Quand il a compris que le chemin était ouvert pour lui, Rony s’est déchaîné dans mon dos, me soulevant du sol à chaque fois qu’il poussait. Je voyais cette femme jouir de deux hommes ; un seul suffisait à me combler. Haletante, j’ai aperçu à côté de nous mon client qui nous matait en se masturbant. Pour glauque que soit cette situation, elle n’en fut pas moins excitante pour moi. Tous ces hommes que je faisais bander, toute cette énergie bestiale que je provoquais… Mon ego était alors à son paroxysme, comme le fut mon orgasme alors que je sentais Rony éjaculer. Moi, la mère de famille bien sous tous rapports, la femme aimante, le modèle, je venais de me plonger dans le stupre, dans la débauche, dans le degré zéro. Marc est venu m’appuyer sur la tête pour que je le suce. Il n’y avait là aucune sensualité, aucune tendresse, juste l’exigence ...
... d’un homme au bord de l’extase de se finir dans la chaude humidité de ma bouche. C’est en me traitant de salope qu’il a craché son foutre épais, ne cessant ses poussées que quand il fut vidé totalement. C’est bien ce que j’étais : une salope, une immonde salope ; mais transgresser tous mes interdits ne pouvait pas se faire sans conséquence. J’en avais bien conscience lorsque Marc m’a proposé d’aller chez lui avec Rony pour finir la nuit. Je les ai suivis sans résister. Mon cœur disait non, mais pas mon corps qu’il me fallait rassasier après ces années trop raisonnables. Ils voulaient une salope déchaînée pour la nuit ; ils l’ont eue. Ils voulaient me voir nue, me voir faire n’importe quoi ; ils m’ont vue. Ils voulaient profiter de ma chatte et de mon cul ; ils ont pu, autant qu’ils le voulaient. Quand j’étais empalée pour la nième fois sur Rony qui me pistonnait, Marc a voulu en profiter pour me sodomiser. Non seulement ça ne m’a pas fait peur, mais j’en avais terriblement envie. J’ai écarté mes fesses de mes mains alors que ma bouche et celle de Rony étaient liées par une bave abondante. Marc s’est introduit trop vite, me faisant un mal de chien. J’ai protesté ; il a insisté. J’ai adoré. Adoré avoir deux sexes en moi, rien que pour moi. Je n’étais plus qu’un sac à foutre, un vide-couilles, mais les problèmes de conscience allaient attendre le lendemain. Un lendemain douloureux. Je ne pouvais pas cacher mes frasques à Edmond. Après tout, avant d’être mon mari, il était aussi ...