1. Violaine, souvenirs d'antan


    Datte: 16/03/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, Collègues / Travail grossexe, boitenuit, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, nostalgie, coupfoudr, amourcach,

    ... ans, lui 22. On ne parlait pas encore de cougars dans ces temps-là, mais c’est ce qu’on dirait aujourd’hui. Bakir était vraiment monté comme un âne, et son endurance était sidérante. Il était capable de re-bander et de me satisfaire six ou sept fois dans la même nuit sans jamais montrer le moindre signe de fatigue. Il parlait mal le français, mais son vocabulaire était suffisant pour me dire et me répéter qu’il m’aimait, qu’il voulait vivre avec moi, qu’il se tuerait pour moi. Je ne lui en demandais pas tant. J’avais aussi occasionnellement des relations avec Marc ou avec des gens qu’il me présentait, mais c’était assez souvent décevant. Rony et Bakir me suffisaient. Vous voyez, j’étais raisonnable : je me contentais de peu. Je posais ma plaquette de ces maudites pilules sur la tablette dans la salle de bain, vers ma brosse à dents, pour être sûre de ne pas l’oublier. Et j’oubliais quand même, la plaquette ayant changé de place comme par magie. Et le plus souvent je ne la retrouvais même pas. Notre fille avait sa propre salle de bain. Ça ne pouvait être qu’Edmond qui jouait avec, à moins que je ne sois devenue dingue. Puis une fois je l’ai vu faire. Il n’avait pas réalisé que j’étais là quand il a pris la plaquette de la tablette et l’a glissée dans la poche de son pantalon. Edmond cherchait sans doute à me piéger ; j’ai trouvé ça dingue, mais je ne lui en ai pas parlé. Simplement, j’ai laissé une plaquette vide sur la tablette, bien en évidence, en attendant que lui-même ...
    ... se décide à venir me dire ce qu’il avait derrière la tête. Durant deux ou trois semaines, j’étais restée sage à la maison. Puis un week-end où Laure était chez ses grands-parents avec son père, j’ai ressenti un énorme vide. Il me fallait du sexe. J’ai appelé Bakir. Il n’était pas disponible, mais il est quand-même arrivé moins de trente minutes après mon appel, une bouteille de champagne à la main. Quand il a sonné, j’ai failli me défiler, inventer un truc de dernière minute. Finalement, je me suis ravisée. J’ai ouvert le portail en lui disant que j’avais besoin de quelques minutes pour me préparer. Je me suis enfermée dans la salle de bain pour prendre une douche. Quand j’en suis sortie, la serviette nouée sur la tête, j’ai retourné dix fois la plaquette vide dans ma main, me demandant si j’avais bien compris ce que voulait mon mari adoré. Bakir était venu pour me baiser, par pour admirer ma garde-robe. Quand j’ai ouvert la porte de la salle de bain, il était là, devant moi, à m’attendre. Je me suis retrouvée assise sur le lavabo, soulevée du sol comme une plume, les cuisses nouées autour de son bassin. Malgré son français approximatif, j’ai compris que ça l’excitait à mort de voir mon dos dans le miroir alors qu’il était en train de me défoncer. J’ai voulu voir aussi. C’était beau, en effet. Je ne l’ai pas laissé se retirer quand la pression a été trop forte, et j’ai senti ses jets chauds se loger bien au fond. Nous sommes restés serrés ainsi, collés l’un à l’autre le temps ...