1. Mon merveilleux amour


    Datte: 17/03/2020, Catégories: fh, amour, Oral 69, pénétratio, fsodo, mélo, amourpass,

    ... notre tête-à-tête. Il nous semblait qu’il n’avait duré qu’un instant, mais pourtant ma montre indiquait qu’il y avait plus d’une heure que nous étions ensemble. Isabelle m’a quitté, me promettant de revenir. Maman semblait toujours contrariée. Elle ne m’a rien dit, mais son visage parlait pour elle. Isabelle est revenue me voir plusieurs fois après ses cours, à des heures pas très règlementaires. Quinze jours plus tard, j’ai quitté l’hôpital. Naturellement, nous nous étions avoué notre amour. Mais en dehors de baisers passionnés, pas de possibilité de conclure. Enfin nous avions échangé nos numéros de portables car nous aurions des difficultés pour nous voir. Il nous faudrait trouver un endroit discret. Comme il me l’avait proposé, j’ai demandé audience au maire. Ce dernier m’a reçu et m’a proposé de venir lorsque je serais en état de travailler, en CDD pour six mois, puis CDI par la suite. Mais ce n’était pas l’enthousiasme témoigné lors des visites à l’hôpital. Il avait d’autres soucis plus importants à la mairie. Heureusement, avec sa fille c’était différent. Les coups de fil ont été fréquents avec Isabelle et nous parlions de notre amour passionné. Enfin, un jour, elle m’a invité à venir la retrouver le lendemain soir, après six heures, dans l’appartement d’une amie. Inutile de dire ma joie. Je suis allé reconnaître les lieux. C’était un immeuble moderne composé essentiellement de petits appartements et de studios. Le soir, je suis arrivé un peu en avance, me demandant ...
    ... comment j’allais pénétrer : je ne connaissais pas le nom de son amie. Mais Isabelle s’est trouvée instantanément à mes côtés. Elle m’épiait depuis sa voiture. Nous sommes montés rapidement. Marion était curieuse de me connaître, compte tenu de la description que lui avait faite Isabelle. Cette dernière m’a expliqué que c’était sa meilleure copine depuis le collège. Elle avait passé un BTS de secrétaire et son père l’avait embauchée dans les services municipaux. Elles partageaient tout, n’avaient aucun secret l’une pour l’autre. Marion a été merveilleuse, son accueil chaleureux. Elle a alors prétexté une rencontre avec des copains pour nous laisser seuls. J’ai éclaté de rire à cette excuse, elle aussi a souri en partant. Nous nous retrouvions enfin, Isabelle et moi, seuls, dans un endroit discret où tout était permis. C’était sensationnel. Et nous en avons profité. Pendant le premier baiser que nous avons échangé, elle dégrafait déjà sa jupe. Nous réalisions ce que nous nous étions promis à l’hôpital et que nous n’avions pas pu faire. Une minute plus tard, nous étions nus. Allongés l’un contre l’autre, nous avons pu enfin connaître ce que nous n’avions pas pu voir. Elle était magnifique ! Ces seins, que je trouvais déjà à mon goût quand je les caressais dans leur prison, se révélaient fermes et tendres à la fois. Ma bouche volait de l’un à l’autre, mes mains les enserraient, c’était merveilleux. Isabelle aussi paraissait satisfaite de ma musculature, et de mon sexe. Elle ne ...
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