1. Mon merveilleux amour


    Datte: 17/03/2020, Catégories: fh, amour, Oral 69, pénétratio, fsodo, mélo, amourpass,

    ... Marion nous prêtait quelquefois son appartement et nous en profitions largement. Naturellement, ma mère a vite compris les raisons de mes retards ou de mes absences, moi qui étais avant un modèle de ponctualité. Sûrement par peur de me perdre, elle essayait de me convaincre de ne pas m’engager, nos situations étant trop différentes. Elle avocate et moi jardinier ! Ça ne marcherait jamais ! De son côté, Isabelle m’indiquait que son père usait d’arguments similaires pour inciter sa fille à mettre fin à notre relation. Mais nous, on s’en foutait, on était heureux ; c’était le paradis. Par contre, Isabelle ne prêtait plus autant d’attention à son travail à la fac, ses notes s’en ressentaient, ses parents s’inquiétaient. Peu importe, nous continuions nos rencontres amoureuses. oooOOOooo Ce matin, Isabelle m’a téléphoné, me proposant de passer le prochain week-end ensemble, en amoureux. J’ai éclaté de joie : deux jours, et surtout deux nuits à s’aimer ! Elle était parvenue à l’impossible. Rendez-vous chez Marion vendredi soir. Je suis arrivé en avance, mais Marion était devenue une copine, une complice même. Pourtant ce soir elle avait une mine bizarre, une déception amoureuse probablement, ou bien elle était un peu jalouse de notre bonheur. Isabelle est arrivée, souriante, mais aussi un peu gênée. Son père ne devait pas être enchanté de notre escapade. Marion nous quitta très rapidement sans que j’aie eu le temps de la remercier plus longuement. Que dire du week-end ! Jamais nous ...
    ... n’avions autant assouvi notre faim l’un de l’autre. À tel point que le dimanche matin je n’ai pu assurer que le service minimum. Isabelle m’a rassuré ; elle allait préparer un repas dont je me souviendrais longtemps. Elle est sortie, est revenue un moment plus tard après être passée chez un traiteur. En effet, jamais je n’avais goûté à de tels délices. Et pour finir, une forêt noire, gâteau que j’adore. J’ai protesté car je connais le tarif de tous ces plats. — C’est un cadeau, me dit-elle, pour tout ce que tu m’as donné. Nous sommes retournés au lit et avons repris nos exercices amoureux. Alors que nous approchions du paradis, elle se déroba et se mit à quatre pattes. Position fréquente entre nous. Mais elle guida mon sexe plus haut que d’habitude. Elle m’avait demandé de ne jamais essayer de la pénétrer de cette façon, et voilà qu’aujourd’hui c’est elle qui le proposait ! — Mais, je risque de te blesser ! Tu peux souffrir ! J’aimerais bien, mais je t’ai promis…— Ne t’en soucie pas, j’ai préparé le terrain. Je t’en supplie, c’est un cadeau.— Si tu le veux vraiment… Je me présentai à l’entrée interdite. J’y trouvai un orifice largement enduit de gel lubrifiant. Alors, lentement, je poussai, franchis un peu brusquement les sphincters, puis glissai le plus doucement possible jusqu’à ce que mon bassin vienne appuyer sur ses fesses. La sensation était tellement extraordinaire ! J’ai éclaté très rapidement. Précautionneusement, je me suis retiré et fait pivoter Isabelle vers moi. ...
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