1. Bourgeoise délaissée et amours ancillaires (2)


    Datte: 17/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... celles d’une fille. Il cherchait à respirer, suffocant aussi bien sous la surprise que sous l’ardeur de la précision chirurgicale de la dame. Ce n’est que lorsqu’elle se colla à lui en serrant ses reins pour mieux appliquer ses cuisses entre les siennes qu’il se rendit compte que son slip avait aussi rejoint le sol. Dressée sur la pointe de ses escarpins, elle entama alors une sorte de danse du ventre en roulant son corps menu contre les rondeurs du garçon. Il reconnut alors les sensations qu’il avait éprouvées en solitaire dans sa chambrée quand son pénis affronta le satin et la dentelle de la guêpière, avec cette nuance de taille : il n’arrivait pas à bander ! Vénus comprit qu’elle s’était laissée trop entraîner par sa fougue. Elle avait malheureusement l’habitude de ce genre de désagréments avec son mari… Elle se retira et sourit à Ferdinand. Viens, tu vas prendre la place de mon époux. Elle lui prit à nouveau la main pour le conduire au lit conjugal. Tu ne veux pas m’embrasser ? Osa-t-elle en levant son visage vers lui. Elle posa ses mains sur ses épaules nues. Leurs corps s’unirent à nouveau mais dans une harmonie tendre cette fois. Il revit ce geste mille fois interprété contre le mannequin et leurs bouches s’effleurèrent. Elle se retira un peu pour lui sourire et le rassurer. L’étincelle du regard du domestique l’encouragea à poser franchement sa bouche sur celle de Ferdinand, timidement attentiste. Elle garda longtemps ce contact sans rien tenter de plus ...
    ... audacieux. Quand elle le sentit plus détendu, elle sortit le bout de sa langue ce qui le fit sursauter car il ignorait tout des délices du baiser, les professionnelles ne lui ayant jamais accordé cette faveur. Il desserra les lèvres et la pointe de leurs langues jouèrent comme celles des adolescents inexpérimentés. Ils se laissèrent entraîner par le tourbillon baveux de ce jeu troublant inédit pour lui et oublié pour elle. Ce fut Ferdinand qui retrouva la fougue irraisonnée de ses amours avec la Vénus mannequin et la fit basculer sur le lit. Sans quitter le contact de leurs bouches enfiévrées, Vénus se sentit écrasée par la masse imposante du corps du jeune homme. Elle se cambra quand les doigts maladroits cherchèrent l’élastique de la petite culotte et savoura la caresse du frêle tissu griffant ses petites fesses tandis que Ferdinand s’agitait avec une balourdise touchante pour la débarrasser de ce rempart si fragile. Elle lui ouvrit ses cuisses instantanément pour recevoir son lourd corps. Il se frottait contre elle avec un empressement qu’elle recevait comme un hommage à sa beauté. Il réussit enfin à la tenir à sa merci pour la pénétrer. Soumise à la précipitation de son partenaire inexpérimenté, Vénus mouillait abondamment car il y a très longtemps qu’elle n’avait pas attendu un assaut sexuel autant désiré. Ferdinand grognait contre son épaule en poussant contre le ventre féminin. Il s’énervait car il bandait trop mou pour entrer dans l’antre trempée. Allonge-toi mon chéri lui ...