1. Bourgeoise délaissée et amours ancillaires (2)


    Datte: 17/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dit-elle en lui faisant une place à ses côtés. A ces mots tendres il répondit par un sourire amer et cherchait une raison à exprimer pour excuser sa défaillance. Comprenant son désarroi, elle l’embrassa tendrement et très longuement. - Ce n’est pas grave Ferdinand. Cela me touche même beaucoup que tu ne trouves pas assez d’énergie pour me pénétrer. Ça veut dire que tu m’aimes trop pour profaner ce qui devrait n’appartenir qu’à mon mari. C’est un beau compliment pour moi, tu sais. Tu m’a mise sur un piédestal que je ne mérite pas. Je te veux en moi car je suis sure que tu es capable de faire ce que mon époux n’a jamais réussi à faire. Mais quoi donc Madame ? Me faire jouir et… Et puis ? Je ne sais si je dois te l’avouer mais promets-moi de me faire l’amour quand même lorsque tu sauras. Que devrais-je savoir Madame? Je suis dans mon quatorzième jour. Ça veut dire quoi Madame ? D’abord appelle-moi Vénus maintenant. Cela veut dire que je peux tomber enceinte. Vous accepteriez d’avoir un enfant de moi? C’est cela Madame Vénus. Oui mais cela devra rester un lourd secret entre nous deux. Oui sans hésiter je le veux… Vénus chérie. Alors laisse-moi te préparer, mon amour. Madame de Combourg se redressa dans le lit et vint s’agenouiller entre les cuisses de son domestique. Ferdinand se régalait de voir les seins gonflés échapper aux baleines de la guêpière. Son chignon était à moitié défait et lui donnait une air de sauvageonne lubrique. Ce qu’elle confirma en se penchant sur la queue ...
    ... recroquevillée de son amant. Elle la mit dans sa main et commença à la branler avec une douceur lascive qu’elle activa progressivement. La bite de Ferdinand reprenait une vigueur respectable qu’elle recueillit dans sa bouche avec une gourmandise qui lui rappela sa jeunesse offerte aux notables du village. Madame de Combourg pompa la queue de Ferdinand avec une ardeur folle jusqu’à ce qu’elle se rendit compte que son amant était prêt à éjaculer. Alors elle l’enjamba pour venir se poser sur le gland et se laissa tomber dans un cri de plaisir auquel le majordome répondit par un mugissement aussi inconsidéré que triomphal. La belle partit pour une chevauchée diabolique qui vida très vite les couilles du valet qui explosa dans le vagin bouillonnant. Elle comprima ses chairs pour bien garder la semence qu’elle espérait fructueuse. Elle s’allongea sur le corps confortable de Ferdinand et un baiser interminable les garda unis dans la couche jusque-là inféconde. La nuit fut trop courte pour que les amants puissent dormir. Après chaque assaut ils restaient collés l’un dans l’autre attendant que le désir revienne. Les contractions volontaires des parois vaginales de Vénus faisaient des miracles et la queue de Ferdinand renaissait aussitôt pour ensemencer l’épouse délaissée qu’il remplit de foutre une bonne dizaine de fois. Au petit matin, un taxi les emporta. Il laissa Ferdinand à la gare. Vénus l’accompagna néanmoins sur le quai et le train ayant quelques minutes de retard, ils purent ...