1. Ophelie de femme à femelle (2)


    Datte: 18/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    -- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -- De retour à la maison, en pleurs, perdue, ne sachant que faire, j’allais directement sous la douche pour me laver de cet affront, de cette humiliation. Je rentrai sous l’eau chaude, la laissant couler sur mon visage, le long de mes gros seins (95C), mon ventre et mes cuisses. Que dois-je faire ? Aller porter plainte auprès de la police ? Quitter mon emploi ? En parler à mon mari ? Toutes ces solutions impliquaient que je perde mon emploi et, dans ma situation cela est impossible. En y réfléchissant, il n’y a pas eu violence, il m’a juste demandé de faire des choses indécentes et moi, comme une conne, j’ai obéis. Et pourquoi cette chaleur dans mon ventre quand il m’a traitée de salope ? Qu’avait il fait de ma culotte, restée dans son bureau ? Je sors de la douche avec encore plus de questions qu’en y entrant…… Bravo Enroulée dans une serviette, je croise mon reflet dans la glace, laissant tomber la serviette je me regarde attentivement. Mon 95C tient bien encore, un peu tombant mais avec un bon volume, mes tétons sont bien dessinés, mon ventre bien plat avec mon pubis, bien qu’un peu poilu, reste dans l’harmonie de mon corps. Ramassant ma serviette, j’admire mes fesses, bien rondes et rebondies, pour une quarantenaire, je reste encore « potable ». Sortant de ma contemplation, je décide de rejoindre mon époux dans le lit, me blottissant contre lui, essayant de trouver le sommeil. Réveillée de bonne heure, je reste assise au bord ...
    ... du lit, me demandant quelle tenue je vais bien pouvoir mettre pour aller travailler. J’opte pour un pantalon tailleur noir, un corsage rouge avec sous vêtement classique blanc. Après tout, qu’es ce que je risque? Si ça ne lui convient pas, il me fera des reproches et, puis après ? Avec la boule au ventre, je rentre à l’agence pour prendre mon poste, mais surprise, mon bureau est vide, plus d’ordinateur, plus de téléphone, plus de dossier. Je reste comme une potiche devant ce bureau vide, ne sachant quoi faire. Soudain la porte du bureau d’Arnaud s’ouvre. - Ophélie, dans mon bureau. Fébrilement, j’entre dans son bureau, découvrant avec un peu de soulagement toutes mes affaires dans le coin de son immense bureau. - Je vois que tu n’as pas compris la leçon d’hier, que tu retombe dans tes travers après l’effort vestimentaire que tu as fait. - Mais monsieur, c’est que je n’ai pas…….. commençai-je à bredouiller. - Ferme-la ! je vois simplement que tu ne tiens pas à ton emploi, il me reste qu’une signature pour mettre fin à ton contrat. C’est bien ça que tu veux non ? En pleurs, je le supplie de ne pas me renvoyer, que je suis désolé de l’avoir déçue, que je suis prête à tout pour garder mon emploi. Debout devant son bureau, il me dévisage de haut en bas, avec un sourire carnassier. - Prête à tout Ophélie ? Mets-toi à genou et supplie moi ! Instinctivement, je prends la position ordonnée, réitérant mes supplications, mes fesses posées sur mes talons, le regard baissé, regardant les ...
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