Ophelie de femme à femelle (2)
Datte: 18/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... un râle m’asperge la poitrine ! 1, 2 puis 3 giclées viennent frapper mes seins, une dernière viens s’abattre sur un de mes tétons, m’électrisant les seins, fessant parcourir des frissons le long de ma colonne vertébral, descendant au niveau de mon sexe que je sens humide. Qu’es ce qui m’arrive ? Comment se fait-il que je sois excitée ? Mon patron viens de me jouir dessus et, je suis si excitée que mes bouts de seins me font souffrir. Malgré la honte je ne lâche pas du regard son sexe qui débande doucement, n’attendant qu’une chose, qu’il me demande de venir lécher les quelques gouttes qui continuent à sortir. Tenant toujours son sexe dans sa main, Arnaud sorti son portable afin d’immortaliser cette scène surréaliste et, au lieu de m’offusquer, je me penche, langue tirée afin de recueillir les gouttes de sperme sortant de cette colonne maintenant molle. Que de première à plus de 40 ans….. Première exhibition. Première fois aspergée de sperme. Première fois que je goutte du sperme. Et malgré la honte, l’humiliation, je sens ma culotte détrempée, collant à mon sexe. Aurait-il raison ? Suis-je une salope ? S’il me demande de lui lécher son sexe maintenant, je pense que je lui obéirai sans poser de questions. Au lieu de cela, il le range dans son pantalon, referme sa braguette et retourne à son bureau, me laissant là, à genoux, les seins à l’air recouverts de sperme, excitée comme une salope. Que dois-je faire ? Me lever ? M’essuyer ? M’enfuir ? Tant de questions, je suis perdue, ...
... je ne sais plus quoi faire. - Debout Ophélie ! Enfin un ordre, à croire que je n’attendais que ça. Je me relève avec difficultés et, je reste debout, les jambes en mousse, devant mon patron, les yeux au sol, un bras essayant de cacher ma poitrine, attendant un nouvel ordre. - Ophélie, sais-tu pourquoi je t’ai demandé de ne plus mettre de pantalon ? réponds ! - Je…. Je ne sais pas monsieur, pour être plus féminine ? - Oui mais aussi pour éviter ce genre d’accident. Me dit-il en pointant du doigt mon entre jambe. Regardant mon entre jambe, je cru défaillir en voyant une auréole, une auréole de mouille, ma mouille qui a inonder ma culotte, traversant celle-ci. Quelle honte, comment puis-je nier que cette séance m’as déplu ? - Enlève ton pantalon et ta culotte pour les faire sécher, et viens près de moi, avec ton carnet de note. Affaiblie, honteuse, j’obéis a ses ordres et, c’est cul nu, les seins a l’air que je me poste à ses côtés, avec mon carnet et stylo pour prendre des notes. Il compose un numéro de téléphone et, en attendant m’ordonne d’écarter les cuisses. - Allo, maitre Richard, bonjour, Arnaud à l’appareil, comment allez-vous ? Ne sachant quelles notes il fallait prendre, je rester ainsi, jambes écartées, à côté de mon patron, l’écoutant discuter avec, à mon avis, son avocat. Tout en parlant à son interlocuteur, Arnaud commence à jouer avec mes poils pubiens, les caressant, tirant de temps en temps dessus, me fessant mal, arrêtant juste avant que je ne crie. Etant gênée ...