Ophelie de femme à femelle (2)
Datte: 18/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... pieds de mon patron, debout devant moi à quelques centimètres. Quel tableau pitoyable, une employée à genou devant son patron, le suppliant de ne pas la licencier, les yeux au sol, attendant la sentence. Une sentence qui arriva sous la forme d’un bruit, le bruit d’une fermeture éclair qu’on abaisse. Je reste interdite, n’osant pas lever les yeux, sachant, devinant, craignant de ce que mon patron venait de faire. - Regarde-moi, m’ordonne Arnaud. Restant immobile, il m’agrippe par les cheveux, les tirant en arrière pour que je lève la tête. Instinctivement, j’attrape sa main et je ferme les yeux sous la douleur. - Mes tes mains derrière ton dos et regarde-moi ! Ce que je craignais était face à moi, à quelques centimètres, son sexe, sorti de son pantalon, pendouillant devant mon visage. Un sexe qui me paraissait énorme, long et, pourtant semi-bandé. Malgré la peur, la honte et mes pleurs, je ne peux m’empêcher de la comparer à mon mari. Me remémorant de la dernière fois que je l’ai vu, il y a plus de deux mois, me paraissant deux fois plus petit, en pleine érection. Es ce possible d’avoir une si grosse verge ? Comment pouvait-on accepter un si gros morceau en soit ? Es ce que ma main en fait le tour ? Avec toutes ses questions qui me traversaient l’esprit, je n’avais pas remarqué qu’Arnaud avait lâché son emprise et, malgré cette liberté je n’arrivai pas à détourner mon regard sur cet organe qui prenait de plus en plus de volume. Comme hypnotisée, je regarde mon patron, ...
... empoigner son sexe, faire de long va et viens devant moi, étonnée par l’ampleur de son sexe. Qu’es ce qui m’arrive ? Au lieu de crier au viol, de m’enfuir, je reste là, hypnotisée par cette colonne de chair devant moi, sentant mes tétons durcir sous mon soutien-gorge, et une douce chaleur apparaitre dans mon bas ventre. - Je vois que ma bite te plaît, petite salope ! Salope ! Comment ose-t-il ? Et pourquoi à cette insulte, mon sexe me brule ? - Ouvre ton corsage, montre-moi tes gros seins Ophélie ! Prouve-moi que tu es prête à tout pour rester dans mon entreprise ! Comme un automate, j’obéis. J’obéis à cet homme qui tient mon destin entre ses mains. A cet homme qui exhibe son énorme sexe devant moi. Son sexe que je ne quitte des yeux tout en ouvrant mon corsage, tirant sur mon soutien-gorge pour le faire passer au-dessus de mes seins. Que quelqu’un vienne me libérer ! Pourquoi je reste comme ça, exhibant ma poitrine à mon patron, les yeux braqués sur ce pieu, sur ses mains qui branle ce sexe ? - Tes mamelles sont aussi bandantes que ton cul ma salope ! dit-il en accélérant son mouvement. Je suis sûr que tu mouille, avoue que ça t’excite, que tu aimerais la toucher ! Dans mon esprit je hurle OUIII, oui j’ai envie de la toucher, mais je reste muette, sans réaction, fixant son sexe prendre encore plus de volume, regardant son gland suintait du liquide translucide sortant de son trou qui s’ouvre de plus en plus. Soudain sa main arrête son va et viens enserrer la base de son sexe et, dans ...