1. Douce Aurore


    Datte: 18/03/2020, Catégories: fh, ffh, jeunes, couple, vacances, hotel, douche, Oral initff, couple+f,

    ... les cuisses grandes ouvertes et se laissait caresser le sexe par les mains expertes de mon amour. Elle avait tourné la tête sur le côté et elles s’embrassaient tendrement. Quand leurs bouches se sont écartées, Aurore m’a fixé, droit dans les yeux, un sourire magnifique en prime. Sandrine me regardait également. Tendrement. — Tu veux nous rejoindre ?— Tu crois ?— C’est comme tu veux, mon grand. Aurore est chaude. Viens la baiser si tu veux. Sinon je m’occupe d’elle à nouveau. Ah, c’était ça, le plan ! Ça ne se refuse pas… J’ai vite quitté mes vêtements pour les rejoindre. À genoux, je suis monté sur le lit pour m’approcher d’Aurore et l’embrasser à pleine bouche. J’ai immédiatement retrouvé cette sensation qu’elle me procurait à l’époque, faite de douceur et de chaleur. Elle a tourné lentement son visage vers celui de Sandrine pour que nos langues se mélangent. Mon cœur devait battre à 200, mon pouls en tout cas tambourinait dans mes tempes. Je me suis laissé guider par la main d’Aurore qui avait saisi mon sexe pour l’approcher du sien, humide et chaud, et m’inviter à la pénétrer. Sandrine lui caressait les seins pendant que je la prenais tout doucement, profondément. J’étais dur et sensible, tendu comme un arc. Certes, ses chairs étaient moins fermes que 30 ans auparavant mais ce n’était pas moins bon, au contraire presque. Elle savait serrer son vagin pour comprimer son visiteur, et t’aspirer bien au fond pour son propre plaisir. Aurore entre nous, nos corps mélangés, ma ...
    ... queue bien au chaud, j’ai ressenti alors une immense quiétude, un bonheur absolu, celui de partager notre plaisir. Nous n’étions pas en train de baiser mais de partager, de nous donner du plaisir, de nous éclater de nos corps, de fusionner dans la sueur. J’aurais voulu que ça dure toujours, mais quand j’ai demandé à Aurore de ne plus bouger, elle a compris que j’étais proche de l’extase. Elle a continué à bouger ses fesses au rythme que lui imposait Sandrine, et je me suis laissé aller. J’ai vécu cette éjaculation comme une offrande. Je lui offrais mon sperme et mes spasmes en échange des caresses subtiles et si excitantes qu’elle venait de me donner. Ça a déclenché chez elle un orgasme doux et long, ses yeux clos, son souffle court, et les contractions de son bassin témoignaient d’un plaisir intense, meublé sans doute aussi des souvenirs de notre jeunesse. Nous avons très peu dormi cette nuit-là, et pas beaucoup plus les nuits suivantes. Tout le club devait savoir que nous « faisions ça à trois », tant la tendresse que nous nous distribuions indifféremment était spontanée et visible. Aurore nous a regardés faire l’amour, j’ai regardé ma femme avec elle, elle nous a regardés avec Aurore, nous avons fait l’amour tous les trois. Du plaisir, j’en avais déjà eu, beaucoup, mais jamais autant, et jamais aussi souvent, et jamais aussi fort. À la fin des vacances, nous nous sommes échangés nos portables avec deux promesses : la première, de ne plus nous perdre de vue ; la seconde, de ...
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