1. Sans domicile fixe


    Datte: 19/03/2020, Catégories: fh, inconnu, volupté, entreseins, Oral pénétratio, fsodo,

    ... lève fatigué. Il s’est endormi assez tard, intrigué par sa pensionnaire. Quel genre de paumée est-ce ? Comment m’en débarrasser ou plutôt, dois-je m’en débarrasser ? Je ne peux pourtant pas la garder ! Il se douche, va au salon pour la réveiller. Elle est là, endormie, tellement fragile. Il ne voit que son visage. Elle n’a pas été trop abîmée par cette vie, elle est même jolie. Il lui suffirait d’un peu de maquillage pour qu’elle soit belle. Il n’a pas le courage de la virer, la plaint : tant pis, il la laisse tranquille. Il griffonne un mot : — Je pars travailler. Quand tu te réveilles, mange, et puis reste ou pars, fais comme tu veux. Tire la porte, elle se fermera. Il joint au mot un billet de vingt euros. Toute la journée il pense à elle, oubliant de baratiner la petite stagiaire. Il se traite d’imbécile : laisser une SDF chez lui, elle va tout me piquer ou tout saloper. Bah, je n’ai pas grand-chose. Ou bien elle va s’installer définitivement. Oh, il suffira que je la serre de près et comme elle craint ça, elle partira. À un autre moment, il se dit qu’il a bien fait, on ne laisse pas les gens mourir de froid, surtout les jolies filles. Il rentre rapidement. La porte n’est pas fermée à clé, elle a peut-être invité tous les clodos ! Dès l’entrée, une bonne odeur de cuisine. Il va vite voir : elle est là, devant la gazinière, en train de préparer un plat. La table est mise avec deux couverts. — Bonsoir. Excuse-moi, il faisait tellement froid, je ne suis pas partie. Je ...
    ... n’ai rien touché chez toi, simplement lu les journaux et un livre. J’ai préparé des pâtes aux oignons.— Tu as bien fait de rester et surtout de m’éviter de cuisiner. Eh bien mettons-nous à table. Ils commencent à manger en silence, puis Julien se décide. — Je m’appelle Julien, ça sera plus simple pour discuter. Écoute, je sais combien c’est dur de rester dehors. Je te dépanne aujourd’hui, mais c’est du provisoire.— Moi, c’est Béatrice. Sois tranquille, je pars dès que tu me le dis, tout de suite si tu veux.— Non, passe la nuit ici, tu connais la maison, fais comme chez toi.— Tu es vraiment chic. Après le repas, elle est allée rapidement dans le salon. À travers les vitres dépolies, il l’a vu quitter le jean et le pull. Elle est vraiment jolie, et, si elle voulait, je ne me forcerais pas. Elle a éteint et s’est glissée sous la couette. Un léger froid dans le dos, un affaissement du sommier le tire du sommeil. Elle est là, à côté de lui. Nue. — Tu as froid dans le salon ?— Non, je viens te remercier.— Mais, tu…— Tais-toi. Il n’a pas le temps, ni la possibilité de répondre. Prenant sa tête à deux mains, elle s’est emparée de ses lèvres. Ce n’est pas une novice, sa langue virevolte, s’enroule, fouille la bouche de Julien. Ce dernier se laisse faire. Depuis plusieurs mois, il n’a pas été à pareille fête. Elle abandonne la tête et descend le long du corps, relève le tee-shirt pour admirer la toison sur sa poitrine. Elle mordille la pointe des seins. Il est surpris : on ne lui avait ...
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