1. Ma vie de libertin - suite - 4ème histoire.


    Datte: 19/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    La découverte du libertinage. Ma première maitresse. Durant la période de mariage, j’étais resté sage et fidèle à ma compagne. A 41 ans, veuf depuis près de deux ans, j’élevais seul mes enfants déjà grands avec l’aide d’une femme de ménage qui s’occupait de la maison trois fois par semaine. Comme chaque vendredi soir en sortant du bureau, j’avais fait le détour par le supermarché du secteur pour y faire les achats pour la semaine à venir. J’étais en train de ranger tout ce que j’avais acheté lorsque j’ai entendu non loin de moi une voix de femme s’exclamer : • Ah non ! Ce n’est pas vrai comment je vais faire avec deux pneus à plat ? Je me suis approché pour voir ce que je pouvais faire pour lui venir en aide. Les deux roues du côté gauche de sa voiture n’étaient pas simplement crevées, les pneus étaient lacérés, donc impossibles à réparer avec une simple bombe anti-crevaison. Nous avions deux voitures identiques, la seule option qui était possible était de lui prêter ma roue de secours pour qu’elle puisse regagner son domicile assez proche de la galerie commerciale. Je l’ai aidée à changer ses deux roues et en nous suivant, je l’ai accompagnée jusqu’à chez elle. Arrivés chez elle, elle m’offrit un pot. Elle habitait un joli appartement dans un immeuble récent édifié au milieu d’un parc arboré. De l’avant dernier étage, on dominait un peu ce quartier de la ville. J’ai téléphoné à mes enfants (ce n’était pas encore l’époque du portable) en arrivant chez Sandrine. Nous avons ...
    ... bavardé un peu pour faire connaissance. Elle vivait seule la plupart du temps avec sa fille de 16 ans car son mari travaillait sur une plate forme pétrolière au large de l’Ecosse et elle possédait un institut de beauté assez coté dans les beaux quartiers de la ville. Sandrine m’avait expliqué au cours de la conversation qu’elle était d’origine franco libanaise mais qu’elle vivait en France depuis son adolescence. C’est vrai qu’elle était assez typée. Brune de peau avec des cheveux longs noirs de geai coiffés en chignon, à près de 40 ans, elle avait des formes pleines d’une femme mature. Sous son chemisier un peu échancré, je pouvais voir la naissance des deux seins opulents et elle avait des hanches assez larges. Vers 20 heures, nous nous sommes séparés. Elle ferait réparer ses roues le lendemain et je pourrais venir récupérer la mienne dès le lundi soir. Le lundi soir, j’ai été retardé par un rendez vous qui s’est prolongé aussi, j’ai appelé Sandrine pour lui dire que je ne pourrais passer qu’après 21 heures au plus tôt. Prévenus eux aussi, mes enfants savaient se débrouiller seuls. Finalement il était plus près de 21 heures 30 quand je suis arrivé chez elle. Sandrine m’a ouvert le parking souterrain et j’ai rapidement mis en place ma roue de secours. Nous sommes remontés au 6ème étage où je me suis lavé les mains et une nouvelle fois nous avons bavardé de tout et de rien, de son pays natal, de voyages, des enfants et de leurs problèmes, de nos goûts, de notre amour pour le ...
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