1. Ma vie de libertin - suite - 4ème histoire.


    Datte: 19/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... soleil… Sa fille Natacha avait le même âge que ma fille Aline et elles fréquentaient le même lycée mais ne semblaient pas se connaitre, mes deux garçons étaient un peu plus jeunes. Sandrine trouvait les soirées longues car actuellement sa fille passait la nuit du lundi au mardi chez une copine pour travailler à un devoir de groupe. Assise dans un fauteuil en face de moi, elle avait tantôt une pose alanguie où je voyais ses cuisses entrouvertes jusqu’en haut des bas, tantôt elle se penchait vers moi et là, c’est sa poitrine qui s’offrait à mes regards. Tout cela ne me laissait pas insensible, c’était une femme désirable, en manque de sexe comme moi, sevré depuis le décès de ma compagne. J’avais envie d’elle et elle le savait… et elle m’allumait discrètement. Je me suis dirigé vers elle et je l’ai fait se lever pour la prendre dans mes bras. Mes lèvres se sont posées sur les siennes pour un doux baiser qui s’est rapidement enflammé. Nos langues se livraient à un duel sensuel et humide, nos mains parcouraient nos corps impatients. Son bassin collé contre le mien, Sandrine s’est mise à onduler comme une danseuse arabe, tournoyant des hanches. Je n’en pouvais plus. En quelques minutes de ce manège, ma bite était dressée comme un I dans mon slip. Ses mains sont descendues jusqu’à ma taille, ont dégrafé le pantalon et sorti ma queue. Basculant en arrière sur le divan, Sandrine m’a entrainé sur elle en ouvrant largement ses cuisses et remontant sa jupe sous ses fesses. D’une main, ...
    ... j’ai tiré son string sur le côté et d’une violente poussée, je me suis introduit dans sa chatte trempée de mouille. Au début, je la besognais rapidement mais j’ai ralenti le mouvement, je ne voulais pas partir trop vite et je voulais aussi profiter le plus possible de cette étreinte qui serait peut-être sans lendemain. Un peu plus de trois ans sans baiser, je devais faire attention à ce que mon plaisir n’arrive pas trop vite pour que Sandrine ait le temps de venir elle aussi à la jouissance. Nous n’avions pas eu le temps d’ôter un quelconque vêtement tellement nous étions pressés de baiser. Au bout de quelques temps, Sandrine a commencé à jouir. Cela a été le signal. J’ai lâché quelques bonnes rasades de sperme au fond de sa chatte. L’un et l’autre nous étions un peu essoufflés tellement la joute avait été violente. Nous sommes restés enlacés de longues minutes, puis Sandrine m’a dit : • MERCI. Tu as su m’attendre. Puis elle m’a guidée vers sa chambre où nous nous sommes déshabillés entièrement. C’était effectivement une belle femme mature à la peau ambrée, avec une poitrine lourde mais bien ferme dont les tétons saillaient légèrement au centre d’une aréole brun foncé. Son pubis était dépourvu de toute toison mais à la teinte de la peau, on devinait que, laissée libre de repousser, elle aurait été drue. Sandrine m’expliqua que c’était sa mère qui lui avait rasé la première fois la toison la veille du mariage. Depuis, elle avait continué elle-même, ne voulant pas le faire faire ...