1. Ma vie de libertin - suite - 4ème histoire.


    Datte: 19/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... par une de ses employées. Elle se sentait bien ainsi mais peu de femmes étaient dans son cas. Elle n’en voyait que deux ou trois dans son institut qui acceptaient d’avoir le pubis nu... Nous sommes montés sur le lit. Elle m’a fait coucher sur le dos et en se penchant vers moi, elle a embouché ma bite pour une fellation savante et goulue. Je n’avais jamais été sucé de la sorte par ma femme… J’avais presque oublié la merveilleuse sensation d’avoir la bite dans une bouche chaude et accueillante ! Elle prenait mon sexe le plus loin possible dans sa bouche et le ressortait copieusement enduit de salive puis faisant coulisser sa main droite le long de la hampe, elle n’avait plus que mon gland dans la bouche. Elle le pompait rien qu’en gonflant et dégonflant ses joues. Avec un tel traitement, ma bite n’a pas tardé à se dresser, raide, gorgée de sang et de désir. Sandrine s’est relevée pour se mettre en levrette, les mains appuyées sur le pied du lit, face à un grand miroir. Elle m’offrait ainsi la vue sur ses fesses, sa taille fine et cambrée avec deux fossettes au bas du dos. J’ai toujours aimé particulièrement cette position où l’homme est totalement libre de ses mouvements pour pénétrer sa partenaire. J’ai placé mes mains de chaque côté de sa taille et je me suis introduit une nouvelle fois dans sa chatte, chaude et inondée de nos sécrétions. Je nous voyais dans la glace et cela était très excitant pour nous deux. Entre ses bras, je voyais ses beaux seins généreux balancer ...
    ... doucement. Là, j’ai pris tout mon temps et je l’ai baisée longuement, faisant monter sa jouissance puis en la laissant repartir plusieurs fois. Je me retenais et lorsque n’en pouvant plus, j’ai accéléré mes mouvements, nous avons atteint la jouissance en même temps. Une nouvelle fois, j’ai jeté au fond de sa chatte quelques belles giclées de sperme. Waaouuuhhh ! Que c’était bon de baiser à nouveau. Nous sommes restés sans nous désunir de longs moments puis quand je suis sorti de sa chatte, elle est venue embrasser ma bite en disant qu’elle lui avait fait du bien. Nous nous sommes quittés vers minuit et nous avons pris l’habitude de nous retrouver pour baiser presque tous les lundis car en plus, c’était le jour de fermeture de son institut. C’était sans complication, une baise hygiénique juste pour le plaisir. Lorsque je suis venu la troisième fois, nous avons fait l’amour comme des fous, changeant plusieurs fois de position et pour finir je suis venu entre ses seins qu’elle a pressés comme un fourreau autour de ma bite et j’ai éjaculé sur le haut de son buste. C’est là j’ai redécouvert la branlette espagnole dont la belle italienne m’avait gratifié au cours de l’été 1960. Nus tous les deux sur le lit, nous avons mis quelques temps pour récupérer tout en bavardant. Sandrine m’a alors proposé de me raser le pubis en disant que de cette manière, nous serions à égalité. Je n’avais rien contre car j’ai toujours été avide d’expériences nouvelles et puis comme cela, je serais à l’aise ...