1. Drague à la plage


    Datte: 19/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Tandis que le soleil de l'été me darde de ses rayons, quel plaisir de déambuler nu en bord de plage, dans cette dune boisée, seulement exhibé au regard de quelques habitués. Qu'ai-je à offrir ? Un aimable visage aux traits réguliers surmonté de cheveux grisonnants et souples, ses yeux noisette, ses lèvres minces, son nez bien dessiné fendu d'une fossette, ses oreilles pointues, ses larges joues à la barbe naissante. Mais aussi un corps massif et lourd aux épaules puissantes, au ventre rebondi surmonté de petits seins aux tétons proéminents ; un dos arrondi, des fesses discrètes au sillon bien dessiné ; de larges cuisses, des mollets dodus, des pieds trapus et courts ; des bras aux muscles bien marqués et aux aisselles glabres, des mains courtes ; un ridicule petit sexe sans prépuce orné d'une rare et courte toison. Tout cela, je l’ai longtemps caché, partagé entre les effets culpabilisateurs d’une éducation pudibonde et ma conviction que ma plastique était sans intérêt. Et pourtant, mon corps, encore jeune, n’était pas dépourvu d’attraits. Depuis quelque temps seulement, je commence à apprécier de dévoiler mon corps devenu massif à l’aube de la soixantaine, persuadé qu’il peut encore attirer quelques regards. Comment puis-je espérer concrétiser cette ambition ? Pendant plusieurs jours je me sens transparent, sans intérêt, même pas digne du moindre coup d'œil. Je ressens l’indécence de ma tentative de manière quasi viscérale. Je me sens à la fois honteux et terriblement excité ...
    ... par mon audace. J'arrête ma marche, contemple d'autres corps nus, parfois en mouvement, parfois accouplés et totalement concentrés sur la recherche du plaisir, mais toujours indifférents à moi. Je les frôle en chaloupant ma démarche. Je caresse honteusement mon sexe à leur approche. Rien n'y fait ! Et pourtant, gagné par l’émotion, je finis par me livrer jusqu’à l’obscène. Je me branle à la vue d’accouplements livrés en spectacle, souvent buccaux, plus rarement sodomites. Souvent j’excite ostensiblement mes tétons ou mon sexe à l’approche de partenaires potentiels dont la vue m’est agréable. En quelques mouvements de gymnastique je découvre les rares zones cachées de mon intimité. Les étirements des bras exposent mes aisselles quasi glabres ; ceux du dos et des cuisses, derrière en l’air, jambes écartées, dévoilent l’intérieur de mes fesses dépourvues de tout ornement pileux. J’imagine combien ma rondelle brune s’en trouve ainsi mise en valeur de façon provoquante. Je reste là quelques secondes totalement exhibé dans l’espoir d’attirer le regard, sans succès. Peu à peu, je transforme ces gestes en rituels, les répétant inlassablement à tous endroit de l'étroite pinède où, en bord de plage naturiste, la nudité est tolérée. À plusieurs reprises, je vois arriver vers moi de grossiers personnages qui veulent, sans autre forme de procès, me brutaliser, me contraindre à m'agenouiller pour les sucer ou à me courber être sodomisé sans préliminaire. Je décline ces offres parfois avec ...
«1234...7»