1. Drague à la plage


    Datte: 19/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... en vélo. Mais rien n'y fait ! Tout mon corps n'est que mémoire de ce qui s'est passé la veille. Je pense avec mes tripes, ma peau, mon sexe, mon cerveau frontal mais nullement avec mes organes réflexifs. J'ai une terrible envie de m'exhiber. J'imagine que nombre de mes comparses m'attendent fiévreusement à l'ombre des pins, prêts à tout, le sexe à la main, érotisés en diable. Après une nouvelle nuit au sommeil haché, je ne tiens plus en place. Je m'applique à tout ce que je fais : préparer le petit déjeuner, aller chercher pain et journal, préparer le déjeuner. Dès 13:00 je suis prêt à l'ouvrage. J'enfile un habillement sommaire composé de sandales, d'un flottant trop grand qui donne souvent vue sur mon intimité et d'un marcel informe. C'est dans ce sommaire accoutrement que je me rends à la plage. Tout le long du chemin j'ai l'impression d'être grossièrement exhibé. J'ai envie de quitter ce textile qui ne fait que souligner mon indécence. À peine à l'ombre de la pinède, je me mets nu et commence à déambuler. Dès les premières rencontres je sens dans le regard des familiers des lieux que mon statut a changé. On sourit à mon apparition, m'approche, me touche, me caresse… Je déambule au milieu d'un luxe d'opportunités amoureuses. Je fais le difficile, aguiche l’un, refuse l'autre. En même temps, je m’échauffe et ai du mal à maitriser les signes visibles de mon excitation. Du coup, les propositions pleuvent ! Je ne cesse de faire de nouvelles rencontres, de voir mon sexe happé ...
    ... par de nouvelles mains provocantes, sans qu'aucun visage ne me soit familier. Un inconnu m'aborde avec douceur et me prend par le bras pour, me dit-il, « me présenter quelques amis qui ont beaucoup entendu parler de moi ». Nous traversons une piste cyclable pour nous rendre dans un taillis plus dense et plus éloigné de la plage. Lorsque nous accédons à une clairière nous rencontrons un groupe d'hommes et de femmes magnifiquement nus et bronzées. Mon partenaire fait les présentations, enfin quelque chose qui y ressemble, du style : « la lopette dont je vous ai parlé… ». Tous les yeux convergent vers moi. Le regard des femmes est peu amical. Elles m'approchent, me jaugent, puis s'emparent d'une cordelette pour attacher mes main levées à une branche d'arbre de bonne hauteur ; elles ficellent ensuite les pieds à un long bois flotté dans le but de les maintenir écartés à leur maximum. J’ai un tel plaisir à imaginer la suite que je me contorsionne pour leur faciliter la tâche. J’en suis remercié par quelques claques sonores sur le cul. Au bout de quelques instants je ne puis plus vraiment bouger et suis à leur merci. Elles s’emparent de souples badines et commencent à me frapper en riant : les fesses d'abord puis les endroits plus sensibles. Quand elles s'attaquent à l'intérieur de mes cuisses, qu'elles flagellent mon sexe, mon entrejambe et l'intérieur de ma raie, je commence à crier et à me tordre de douleur. Toutefois la raideur de mon sexe trahit une excitation hors du commun. ...
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